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Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 2:29

Je me présente je m'appelle Nobusa Naga  

Naga, en quelques mots


  • Pseudo : Naga

  • Nationalité : mi-japonnaise / mi- française

  • Age physique : 26 ans

  • Age réel : 230 ans

  • Année de disparition :1789

  • Particularité :Spécialiste dans l'acier et l'artisanat et dans le maniement des armes.

  • Avatar : Artiste du nom de Ayatoki sur Zerochan

Ma vie sur Terre

"Je n'ai jamais voulu naître dans ce monde, si je pouvais tout recommencer, je voudrais disparaître"

Ces mots sont les premiers qui me sont venu en tête avant ma disparition.
À l'époque, nos lames et de nos sueurs se mélangeaient avec notre désir de sortir vainqueur. Ou l'homme avait encore en lui, cette façon de prouver qu'il se battait pour quelque chose et d'où après sa mort, il ne sera jamais oublié par les successions à venir.

Nous parlons alors de l'époque des samouraïs, temps majestueux dans le patrimoine historique et culturel. Mourir pour sa patrie était un honneur et nos croyances se tournaient vers nos dieux plutôt que sur des publicités mensongères. Mais notre époque cache aussi son lot d'horreur et de calamité. Les conditions de femme, étaient-elles, qu'elles étaient considérées comme de la marchandise et à exercer la reproduction pour maintenir notre espèce en vie. Les femmes n'avaient aucun droit, les plus jolies étaient des trophées à l'homme fortuné qui vivait dans l'alcool et la richesse, tandis que les autres vivaient dans la peur de leurs époux, ou se mariaient à un homme pour l'unique raison d'être dans la meilleure partie et dans le cas actuel, par l'emblème de sa maison. Au jour d'aujourd'hui, les coutumes ne sont plus les mêmes, mais il y a longtemps, les jeunes femmes de 15 ans étaient déjà disposées à se trouver un époux.

Ne dit-on pas que le fruit le plus, mure est le meilleur ? Répugnant, n'est-ce pas ? Pourtant, c'était bien la réalité. Pour d'autres, il était sujet de pédophilie, mais pour nous, c'était une question de vie ou de mort. Les femmes qui dépassent la majorité, n'étaient plus bonnes à marier et se retrouvaient alors à errer dans les ruelles des villages à la recherche de quoi se nourrir ou s'adossait à des activités très peut recommander et mal vue de la société Noble, pratiquant le métier de geisha ou femme de joie, allant chercher des hommes pour servir de répression sexuelle et gagner ainsi leurs pains. Un déshonneur de finir ainsi pour des familles.

Mon histoire n'est pas une chose pour laquelle je peux m'en vanter. Ce n'est pas quelque chose de joyeux, mais je peux me dire que d'autre ont vécu des choses pires que mes caprices et le destin que j'ai fui. Je suis la fille d'un illustre samouraï et d'une femme de joie qui n'avait que pour intérêts de m'avoir afin d'obtenir ce qu'elle voulait. Il n'était pas question de sentiment, mais d'un espoir de se faire repêcher dans les bas-fonds des rues. Ma mère était assez connue dans les quartiers chauds de la capitale. Non seulement, elle était désirée par beaucoup d'hommes, mais c'était également une magnifique femme aux longs cheveux argentés, ondulant telle des serpents et d'un corps qui en jalousait plus d'une.

Tenant un établissement privé, il n'était pas rare que des samouraïs s'y arrêtent pour prendre du bon temps. Il n'est pas rare non plus d'y croiser des représentant de la haute société, déjà marié, mais lasser de leurs femmes. Cette femme au combien magnifique, était aussi fourbe que calculatrice et tomba rapidement enceinte d'un jeune samouraï qui s'était adossé au plaisir charnel de son corps. En tombant enceinte, elle décida de manipuler l'homme pour obtenir ses grâces ainsi de tout ce qu'elle voulait. Le samouraï aurait pu simplement là tuer, mais l'établissement était beaucoup trop fréquenté pour qu'un crime de la sorte ne reste pas impuni et caché. Grincent des dents, il ne put qu'accepter à sa demande.

Car, que pourrait il se passer si elle décidait de tout révéler. Le royaume apprendrait qu'un samouraï, proche de l'empereur, aurait eu une aventure avec une traînée jusqu'à l'enfanter et de plus, mariée avec une jeune Noble proche de la famille de celui-ci. Une chose est sur, la royauté en prendrait un sacré coup et par la honte et le déshonneur, la tête de celui qui s'amusait, ne serait alors plus à sa place.

En contre partie, elle accepta de garder l'enfant sous son propre établissement. Quant à l'origine du samouraï, étrangement, personne n'a jamais su qu'il en était le père et chacun reprit son activité, comme si tout ceci n'avait jamais eu lieu. Quelques mois plus tard et juste après ma naissance, ma mère arrêta sa fonction, prenant plus la place d'une dirigeante qui accueille les clients et propose les services de ses "filles" qu'à une concubine sexuelle. Elle avait tout ce qu'elle désirait, donc il n'était plus question de travailler et le plaisir de voir l'argent rentré dans son établissement était la seule chose qui lui importait à présent.

En grandissant, l'établissement accueillait de plus en plus d'hommes, qui dans un premier temps semblait plutôt gentil et chaleureux, quant à ma fonction première, il m'était incombé d'accueillir en compagnie de ma mère les clients et de les amener dans les diverses pièces de l'établissement ou spectacle, jeu d'argent et festin étaient au rendez-vous.

"Dites-moi Mikoto, il est dommage que vous ayez arrêté vos activités, il me tardait de pouvoir passer la soirée avec vous, après tout, vous êtes magnifique. Il est triste de vous voir ainsi, moi qui espérais m'entretenir avec vous."

"Je vous remercie pour ce magnifique compliment cher client, mais oui, il m'a fallu arrêter ceci pour pouvoir éduquer correctement ma fille, mais cela ne m'empêche pas de prendre soin de mes très chers clients en leur proposent tout ce qu'il pourrait leur faire plaisir ! Et malgré l'âge de ma fille, je suis beaucoup aidée et soutenu par elle, ne me ressemble t'elle pas ?"

"C'est votre portrait tout craché ! Elle est adorable et j'ai hâte de la voir grandir et de pouvoir contempler sa beauté de plus prêt ! Vous êtes sûr que la relève est garantie ! Je vous demanderais bien de me la réserver quand elle sera en âge."


Tout cela me semblait faux et d'une ambiance malsaine. Je savais particulièrement que je ressemblais à la femme qui m'avait donné la vie. Mais si j'avais eu le choix, j'aurais préféré ne jamais être née. Plus les années passaient et plus je comprenais que la femme qui se tenait devant moi, tentait de m'éduquer pour que je devienne sa nouvelle attraction. Une fois âgé de 10 ans, il était temps pour moi d'entrée en jeu, portant une tenu plutôt provocatrice, accrocher de grelots et de divers ornement, j'étais assigné au spectacle, pratiquant une danse pour divertir les hommes présents dans la pièce sous l'œil vigilant de la femme qui observait chacun de mes pas.
Ma mère a pris soin de laisser mes cheveux pousser et dans prendre soin. Pour elle, les cheveux rares que nous avions, était un bien meilleur atout pour ferrer les gros poissons, quitte à ce que mes cheveux touchent le sol en prenant de l'âge, il était hors de question de les couper.

Me concernant, je n'ai jamais vraiment contesté ma mère. J'avais.... Peur, je pense. Même si je ne disais pas grand chose, j'analysais chacun de ses mouvements, prenant conscience de comment, elle manipulait et jouait le rôle d'une femme charmante devant ses clients, alors que derrière son masque, se cachait une femme avide d'argent et de pouvoir. Et de toute façon, qu'aurais-je pus faire à mon âge ? Si j'avais tenté de fuir, j'aurais fini dans la rue, sans rien pour vivre et connaissant les clients de ma mère, certain m'aurait reconnu et m'aurait reconduit dans l'établissement, voir pire. J'aurais fini par être violé et tuée dans un coin. Quitte à être violé, autant que cela soit dans un lieu où je pourrais encore espérer vivre.

Atteint l'âge de mes 16 ans, il était temps pour moi de devenir l'instrument de la richesse de ma mère. Prête à être vendu au plus offrant de la soirée, je me tenais devant un miroir, tandis que ma mère se tenait derrière moi, brossant mes longs cheveux argenté qui touchait le sol, offrant un sourire en me fixant du regard.

"N'aie pas peur, Naga, tu es tout simplement magnifique, j'ai l'impression de me voir à ton âge. Tu ne dois pas avoir peur, ce n'est qu'une étape à passer et crois-moi, tu te sentiras beaucoup mieux après. Le client que j'ai choisi est quelqu'un de vraiment très doux et si connaît en femme. Je suis sûr qu'il sera très doux avec toi sachant qu'il s'agit de ta première fois."

Une fois avancée et prête pour le grand soir, je fus escorté jusqu'à la chambre où se trouve un seul futon, des couvertures, de l'eau chaude accompagné par de l'encens qui embaumait toute la pièce d'une odeur agréable et exotique et me plaça sur un coussin attendent là venu de mon client. Le silence s'installa assez rapidement et mon regard se plongea vers mes mains, qui tremblait légèrement. Puis, le bruit de la porte qui coulissait me fit sursauter et me laisse apercevoir le visage de mon futur client. Mère ne mentait pas. Il était plutôt jeune, dans la vingtaine et sûr de lui. Je ne mentirais pas en disant qu'il avait un beau visage. Mais qu'importe le visage, puis qu'après ceci, j'appartiendrais à la collection de ma mère et serais vendu à d'autres hommes jusqu'à ma mort. L'homme se présenta à moi, s'installant sur ses jambes, posant ses mains sur le bout de ses genoux, me fixant comme s'il était en train de faire sa demande en mariage ou peut être qu'il m'observait comme un objet qu'on viendrait d'acquérir et qu'on aimerait observer davantage.

A première vue de son jeune âge et de son accoutrement, il s'agissait d'un Noble qui a dû payer une sacré somme au vu de la pièce que nous étions. J'étais prête à ce qu'il prenne l'initiative, mais nous restions comme deux saintes ni touche à simplement nous regarder droit dans les yeux. J'avais un peu de mal à me dire qu'il était un habitué des femmes. Le silence gênant se brisa lorsqu'il décida de faire le premier pas en évoquant vouloir me connaître un peu plus. J'étais.... Étrangement surprise. Je m'attendais pas à ce qu'il passe à l'attaque sans vraiment faire attention à mes sentiments, plutôt qu'à les piétiner et à faire ce qu'il a à faire. Il m'expliqua qu'il avait eu vent d'une jeune femme d'une incroyable beauté par d'autres de son entourage et qu'étant jeune et bientôt prêt à rejoindre le champ de bataille, il voulait être le premier à pouvoir contempler une femme hors du commun, se disent qu'il fallait tout tenter s'il devait mourir.

Après tout, mon prix était assez élevé et qu'il était assez curieux de voir de quoi il en ressortait. Je ne pourrais dire si j'étais touché par son histoire ou par le fait que mon identité entend qu'un être humain venait de disparaître, vendu comme un vulgaire bout de papier.

Après notre discussion, il s'approcha de moi avant de procéder aux étapes. Je me suis contenté de le laisser faire, les larmes aux yeux par la douleur et d'imaginer que ma vie, maintenant, ne serait remplie que par des hommes qui me voyaient comme une perle précieuse, qui se ternit de jour en jour. Le lendemain, il s'en allait, satisfait d'après ma mère tandis que pour la première fois, le lever du soleil m'était insupportable et désirait plus hardiment que celui-ci ne cesse de briller et de m'aveugler. Les jours restèrent les mêmes, accueillir les clients qui m'ont choisi, rester près d'eux pour leur tenir compagnie, vendre mon corps pour les satisfaire. Les demandes n'arrêtaient pas et s'accentuaient de plus en plus, à croire que je finirais par mourir d'épuisement. Je n'en pouvais plus.

L'établissement fermé, prêt à se tenir ouvert pour la soirée qui devait avoir eu lieu, j'entendis du grabuge dans les couloirs, ouvrant les yeux et apercevant des ombres à travers le washi qui couvrait les portes coulissantes pour entendre des cris inhabituelles. Plutôt que d'entendre des cris de plaisirs, j'entendais comme des voix d'horreur et des hurlements stridents qui provenait de l'allée. Attrapant le kimono qui me servait de vêtement pour l'enfiler, j'ouvris la porte pour être témoin de choses horribles.
Des jeunes femmes travaillant dans l'établissement, gisaient sur le sol, entaillé par une lame bien aiguisé, toute trace de vie effacer à travers leurs yeux sans âme, tandis que les couleurs de l'établissement plutôt tamisé et très peut éclairer était d'une couleur orange vif et violente, qui dominait l'ensemble des lieux, dévorer par les flammes.

Alors que je tentais de retrouver ma mère, j'aperçus en quittant une allée pour rejoindre le centre de l'établissement, des samouraïs en train de poursuivre des survivantes, le visage d'un prédateur jouant avec sa proie, foncent vers leur direction, tandis qu'elle essayait de fuir. J'ai tenté de fuir malgré leur détresse, pour finalement être rattrapée par le destin, me retrouvent plaquer au sol par l'un d'entre eux.

"Ne bouge pas sale catins où je vais découper finement ta gueule de salope si tu fais quoi que sois, à te voir, tu m'as l'air pas mal, je vais te faire plaisir et te donner ta récompense, si tu te laisses faire, je ne te tuerais pas, c'est promis"

Lorsqu'il s'empressa pour trifouiller au niveau de son bas-ventre, je réagis au quart de tour attendant le bon moment qu'il baisse sa garde, pour attraper un bout de bois bien entamé par les flammes et usa de toute ma force pour le frapper au niveau du visage, sous la panique totale, j'attrapai son katana et lui porta un coup dans la gorge. Celui-ci tombant sur le sol, son sang gisant sur le parquet et sur mes pieds. J'ouvris les yeux en grand, me laissent tomber sur le sol à mon tour, le poignet de la lame entre mes mains.

Je venais de tuer quelqu'un pour la première fois, et même si c'était pour me défendre, je venais d'ôter la vie d'une personne. Tout était tellement chamboulé aux fonds de moi, que je me sentais mal et laissa tomber le sabre, pour placer mes mains devant la bouche où je sentais quelque chose remonter à l'intérieur de moi et vomi sur le sol. Tandis que j'avais tué mon potentiel violeur, j'observais d'un coin de l'œil des cadavres de partout et des jeunes femmes, tout comme moi, qui se faisait violer, sans personne pour les aider.

Je ne sais pas ce qui se passait dans ma tête à ce moment précis, mais mon corps semblait bouger par lui-même et en prenant appuie sur mes jambes, je pris le katana pour me diriger vers les deux autres hommes, plantant la lame par le dos sur celui de droite, pour venir aussitôt découper la chair en direction de la droite. La lame toujours plantée dans le dos de celui-ci, afin de diriger la lame en direction du deuxième et d'un geste brusque, décapita de moitié l'un pour venir décapsuler la tête de l'autre. Les deux jeunes geishas en larme, leurs yukata habituellement d'une couleur blanche et pure, s'étant transformée en une rivière de sang, choquée parce qu'elles venaient de voir, décidèrent de partir en courant afin de fuir le bâtiment qui brûlait à vue d'œil et qui finirait par s'écrouler tôt ou tard.

En regardant les deux cadavres gisant sur sol et en observant les deux femmes partirent en courant, ma conscience m'avait quittée pour ne laisser qu'un corps vide et coinça le sabre dans la ceinture de mon yukata pour me diriger inconsciemment vers le hall d'entrée. Une fois à destination et en descendent les escaliers, j'aperçus ma mère, le regard neutre et le sourire au coin de ses lèvres et d'un homme qui lui pointait le bout de son katana vers sa direction.

"Alors, tu as fini par revenir dans mon établissement, la peur aurait elle enfin pris le dessus sur toi ? Que comptes-tu faire ? Me tuer ? Et bien, je t'en prie, j'ai suffisamment assez abusé de la vie pour partir tranquillement, quant à toi, tu resteras toujours dans la honte d'avoir trompée ta jeune épouse. Les hommes, il suffit d'avoir un joli visage pour les transformer en d'immondes porcs"

"Tait toi démon, ton envoûtement ne fonctionnera plus sur-moi ! Tu es une menace pour la paix que désire notre empereur et j'ai pour mission d'en finir une bonne fois pour toute."


Suite à cet événement et par la fumée qui prenait de plus en plus d'ampleur, j'ai vaguement des souvenirs de ma mère, tombant sur le sol tandis que l'homme qui se trouvait en face d'elle s'approchait de moi et me murmura quelque mot qu'au final, j'ai oubliés. Suite à l'accident, qui aurait pu provoquer la destruction de diverses maisons. La pluie eue raison d'éteindre ce feu aussi rouge que le sang pour ne laisser que ruine. Les corps des défunts samouraïs, ont été envoyés à leur famille, tandis que les femmes de l'établissement, n'ayant aucun emblème ou nom, ont été jetés dans les rives. Quant à moi, je suis resté la seule vivante ayant repris connaissance non loin de l'accident, comme si quelqu'un m'avait sauvé pour me déposer plus loin.

J'ai vécu deux ans dans les rues, me faisant passer pour un jeune garçon aux longs cheveux. Si une chose m'avait été utile de la part de ma mère, c'était bien le fait de manipuler les gens et de réussir à survivre malgré mon handicap d'être une femme. Il n'était plus question de me faire passer pour une magnifique poupée, plus question de maquillage, de soin. Maintenant ce qui m'importait le plus était d'effacer toute trace de ma féminité pour apprendre à vivre comme un homme. Voler n'était pas de tout repos, parfois, c'était une réussite et de l'autre cette victoire avait le goût de sang, frapper diverses fois jusqu'à l'épuisement, traîner dans la boue et parfois ne rien manger de la journée, car on ne gagne pas tout le temps. Mais cela ne m'empêchait guère de ne pas recommencer, trop téméraire et insouciante, je ne prêtais pas au danger que cela pourrait engendrer.

La moindre faute était fatale si j'étais attrapé par la garde. Dans mon temps, voler du pain était sous peine de mort ou de la décapitation des mains comme mise en garde. Née comme une traînée et finir en traînée dans la rue, qu'est-ce que ça change finalement.

Sur ces entrefaites, j'ai décidé de voler autres choses que de simple fruits, un peu trop obstinée à faire ma maligne, je me suis dirigé vers un plus gros poisson et plus précisément une demeure plutôt proche de celle des nobles, mais plus à part. Je n'ai jamais dit que je n'essaierais pas. Qu'est-ce que j'avais à perdre de toute façon. Entrer dans la demeure était une chose plutôt simple, mais trouver de quoi voler en était une autre. À envisager le décor de la demeure, j'étais chez une personne adepte des sabres et du métal. Alors que mes yeux dérivaient vers d'anciennes statuettes visiblement de bonne matière pour aller les prendre, j'entendis le bruit d'une panière heurtant le sol. Mon regard croisa celui d'une jeune fille, en vue de son apparence. Celle-ci fini par se mettre à hurler, le regard surpris et apeuré. Paniquer de la situation et à la peur d'attirer les gardes, je fis un bond pour venir placer ma main sur sa bouche, afin d'étouffer ses cris, profitant pour l'immobilier avec mon autre main. Alors que je croyais maîtriser la situation, la silhouette d'un ours géant fut éruption dans mon dos et alors que je m'apprêtais à dégainer le sabre qui me servait à me défendre, j'ai senti une force colossale, me propulser dans les airs, en laissent tomber par égard mon sabre sur le sol.

"Tu es bien téméraire pour oser voler un forgeron ! "

Il fallait que la seule personne que je décide de voler ce jour-là, soit un homme baraqué à l'apparence d'un ours noir des montagnes et qui va bien me faire comprendre que je n'aurais jamais dû mettre les pieds ici. Tandis que je croyais que tout était fini pour moi, l'homme se dirigea vers une vieille bâtisse de bois pour me jeter à l'intérieur, la tête la première, j'étais prise dans un élan de roulette pour finir la tête à l'envers, mes fesses rentrent en contact avec le bois dur. Suite à la violence du geste, je me redressais, la tête sur le sol, tremble de douleur tenant avec mes mains mes fesses et observait d'un œil le vieil homme plutôt ballez et imposant qui ruminait par le nez et referma la porte derrière lui. Je me relevais pour me diriger vers celle-ci, mais cette fois si bloquer, impossible d'ouvrir ou de fuir puisqu'il n'y avait aucune autre échappatoire. J'entendis alors la voix d'une autre personne s'adressant en direction de l'endroit où je me trouvais.

" Nous avons entendu des cris ! Que s'est-il passé ?"

" Rien, un voleur de base étage c'est infiltré dans ma demeure et a surpris ma petite fille. Mais la situation est réglée maintenant, vous pouvez disposer"


L'oreille collée contre celle-ci, j'entendis les pas lourd s'éloigner petit à petit tandis que le silence s'installa. Un silence......... Trop pèsent. Est-ce que le vieux était parti, prêt à attendre mon dernier jugement ? Où alors est-ce que j'allais mourir là-dedans ? Hors de question. Je prends un léger élan, retroussant le chiffon qui me servait de tenue et pris l'appuie avec ma jambe gauche pour m'élancer en direction de la porte. Alors que fonçait à pleine vitesse, elle sourit miraculeusement me laissent basculer vers l'avant pour tomber cette fois-ci la tête la première sur le sol. Le vieil homme ricana bruyamment avant d'attraper par sa seule main colossale, le chiffon qui me servait de vêtement et hurla le nom de sa fille qui s'empressa de venir.

"Va donc me laver ceci ! Et s'il essaie de fuir, je le rattraperai et lui briserais la nuque avec mes mains !"

Il n'avait pas vraiment l'air de plaisanter à ce moment-là et étrangement, moi qui n'étais pas du genre à vouloir rester sur place et à essayer de me débattre, toute mon adrénaline s'envola, n'ayant pas eu le temps de comprendre la situation, que je me retrouvais dans une bassine d'eau froide faite de bois, tenant avec les mains ma poitrine pour le camoufler. À peine essayer de placer un mot, me voilà habillé et assis sur le cousin, devant la table basse attendent comme une gentille petite fille, tandis que la jeune femme cuisinait. Ce mode de vie n'a rien à voir avec ce que j'ai vécu et plutôt de vouloir faire face, j'ai préféré voter pour l'option de la fuite, vu que l'autre barracuda ne semblait pas être là.

Alors que je m'apprêtais à me lever pour prendre la poudre d'escampette tout en observant en direction de la cuisine, la voyant trop absorber par la préparation des aliments que par moi, un frisson parcourait l'ensemble de mon corps, ressentent la même aura que tout à l'heure et sans de nouveau comprendre la situation, mes pieds ne semblaient plus toucher le sol et par une force d'attraction, je fis un tour sur moi-même, pour me retrouver visage contre visage, du vieux forgerons maussade et presque tueur.

Comme un mouton devant un troupeau de lion, je ne dis rien, laissent la machine de muscle me reposer à l'endroit exact ou sa petite fille m'avait installée, tandis que celle-ci le sourire au visage déposa le repas sur la table. Trahis par mon propre estomac, je ne réfléchis pas deux minutes avant de me jeter dessus telle une sauvage pour me remplir l'estomac. Je pouvais toujours m'enfuir plus tard dès qu'ils auront le dos tourné. Après ce fameux repas, le soleil se coucha pour laisser place aux lumières de la ville qui s'allumèrent chacune leurs tours, donnant ainsi une ambiance chaleureuse et conviviale. J'en oubliais presque qu'à force de vouloir survivre et à observer le sol boueux à la recherche de reste, de relever la tête pour apprécier ce genre de lumière colorées.

Les lumières éteintes à l'intérieur du bâtiment, le vieil homme s'installa sur le rebord de sa maison, observant le ciel tandis que j'avais trop peur de prendre de nouveau la fuite et d'être poursuivi. Il dégaina le sabre que je possédais pour y jeter un œil et le déposa près de son flanc gauche.

" Je te laisse tranquille pour cette fois, mais sache que ma gentillesse a des limites, avorton. Si tu veux un conseil sage et aviser, devenir une voleuse à ton âge n'est pas vraiment recommandé, surtout si tu es une jeune femme. Tu ferais mieux d'arrêter si tu ne veux pas y laisser ta peau... Tu devrais rentrer dans ton foyer. Mais avant de rentrer chez toi, j'aimerais que tu m'expliques comment tu as réussi à te procurer ce katana. Il est rare qu'une femme possède un sabre aussi finement conçue, si celui-ci n'a pas été volé à un samouraï. Le sabre que tu as avec toi est imprégné d'une odeur putride. Qu'elles étaient les raisons pour avoir fait autant couler le sang ? "

Sous la surprise, je fixai le vieil homme, ou pour la première fois son regard n'était pas celui d'une personne en colère, mais plutôt triste. Je me relevais furax avant de cracher tout ce que j'avais en moi sous le moment, trop honteuse qu'un individu tel que lui, arrive facilement à lire en moi.

" Qu'est-ce que ça pourrait vous faire !!? Vous vivez dans le luxe sans vous poser la question de comment sera le lendemain ! N'essayez pas de jouer le gentil vieil homme qui veut jouer au bon moine, afin de mieux se sentir ! J'ai toujours vécu seule et je n'ai pas besoin de qui que ce soit pour survivre ! Oui, j'ai tué un homme, même plusieurs et alors ? Vous allez me dire que c'est mal ? Qu'est-ce que vous en savez déjà ! "

Il se redressa avant de s'avancer dans le jardin pour adopter une position de catcher, serrent ses poings pour m'inviter à venir m'exprimer de plus près.

" Je vais te foutre la correction dont tu as besoin, que tu sois un gamin ou une gamine pleurnicheuse m'importe peu. Si je ne peux pas discuter avec le sale petit rongeur que tu es, je préfère le faire à ma manière. Ramène-toi sale morveuse. "

Il ne fallait pas une deuxième provocation pour me mordre la lèvre inférieure et de me jeter inconsciemment sur lui, pour me prendre une sacré droite qui me fit décoller du sol pour atterrir quelques centimètres plus loin, les larmes aux yeux tandis qu'il se replaçait exactement au même endroit, se moquant et d'un geste de la main, m'incita à revenir vers lui. Notre combat à durée jusqu'au petit matin, le visage complètement défiguré, des écorchures partout sur le corps et un joli œil au ber noir et certainement des choses casser à l'intérieur de moi, impossible de vous dire ce qu'il restait d'intact. Complètement inerte sur le sol, j'aperçus le soleil se lever enfin. Jamais je n'aurais pensé me prendre la correction de ma vie. Le vieux n'était pas à son comble. Des morsures dans le coup et au niveau des bras, des griffures dans le dos, des bleus se dirigeant parfois vers le violet sur l'intégralité de ses bras musclés et quelques touffes de cheveux, arracher. Allonger comme deux idiots sur le sol, il explosa de rire, connaissant enfin les raisons qui m'ont poussée à agir en voleur, tandis qu'il m'était impossible de bouger le moindre doigt en me disant " et voilà, il est devenu complètement sénile".

" Je comprends mieux maintenant, je n'ai pas le choix on dirait....deviens mon apprentie. Tu pourras être nourri et héberger. Ne va pas croire que je fais cela par pitié, mais vue comment tu te bats, j'ai peur que tu finisses en brochette. "

L'idée était à réfléchir. Qu'est-ce qui m'attendait vraiment si je décidais de refuser son offre ? Nourris, blanchis ? Très peu pour moi, mais l'idée d'apprendre à faire des armes n'étaient pas une si mauvaise chose. Observant le ciel et les oiseaux qui migraient ailleurs, je souris faiblement avant de fermer les yeux."Vieux fous."

Les jours suivent, j'ai élu domicile chez eux, en aident de temps en temps aux tâches ménagères, parfois en les évitant et en fuyant le vieil homme qui ne manquait pas de m'infliger des punitions aussi étrange que surprenante. Les journées étaient un peu plus.... Ensoleillée en leur compagnie. Cinq ans sont passés et j'ai finalement décidé de m'installer définitivement.
La forge et la construction de métaux ne possédaient plus aucun secret pour moi. Observant attentivement les fait et geste du vieil homme et en lui tenant compagnie durant ses nombreuses années, j'ai commencé à le voir autrement et au final, à l'appeler maître. Pour ne pas que les clients ne doute de rien, j'ai continué de me comporter comme un gamin et plus précisément le nouveau disciple qui serait certainement son successeur et plus ou moins son gendre concernant sa petite fille. Qui pourrait vraiment le croire....

Le plus dur pour moi n'était pas de jouer le rôle de l'homme, mais d'essayer de respirer et de ne pas souffrir le martyre dû à la pousser croissante de ma poitrine. Pour cacher, il fallait utiliser des bandages pour les aplatir et si une chose qui pouvait me faire rappeler que j'étais une femme... C'était bien sûr cela. Mais alors que tout semblait aller pour le mieux, l'orage fit son apparition et vient alors couvrir le ciel annonciateur d'un mauvais présage.

C'est en l'an 1782, que la famine vient alors toucher nos contrée et dura 5 années consécutives tuant d’innombrable personnes, malgré toute les dispositions établi par l'empereur, les choses ne s'arrangeait pas. Les gens sont devenu de plus en plus méfiants des étranger et se transformait en enquêteur pour balancer la moindre information susceptible de gagner de quoi manger. Et ce qui devait arriver arriva.

Un groupe de soldats se tenait aux portes du domaine de mon maître, armés. Alors que j'étais en train d'aider Nameko, sa petite fille à la préparation du repas, le maître entra dans la pièce pour nous attraper et nous poussa à l'intérieur d'une salle, dans lequel je n'avais jamais eu le droit de visiter

"Rester ici toutes les deux et ne bougez pas, s'il arrive quoi que ce soit, filer par l'arrière et Naga, tu ne discutes pas où je te promets qu'il te faudra plus que des bandages et de jour de repos pour t'en remettre"

Il referma lentement la porte d'un geste brutale pour se diriger vers l'entrée de son domaine, avant de s'incliner poliment vers l'homme qui se trouvait en tête.

"Forgeron Kôsuku ! Nous avons pour mission de fouiller votre demeure, il a été entendu dire que vous gardiez secrèment un étranger à l'intérieur de votre domaine et qui se promènent librement pour aller voler et lapider les nobles !! Si vous ne voulez pas salir encore plus l'emblème de votre famille, nous vous demandons de nous livrer l'étranger le plus rapidement possible."

"Je ne sais pas qui vous à dit cela, mais je suis un vieil homme qui durant des années, à forgé pour son pays afin de le protéger ! Je n'ai accueilli aucun étranger au sain de ma demeure, de mon patrimoine. J'ai juré fidélité à l'empereur ainsi qu'à ses successeurs et connais le châtiment qui est réservé, je peux vous garantir que vous ne trouveriez personne, hormis ma petite fille. "


Observant la situation à travers la fente de la porte, Nameko me fixa, le regard terrorisé et inquiète. La couleur de mes cheveux était un problème. Née d'une mère étrangère installer en Yedo. Je suis en réalité mi-française et mi-japonaise, mais malheureusement, je n'ai hérité que de ma défunte mère. Le maître et sa petite fille était en danger par ma faute. Alors que Nameko, attrapa le bout de m'a manche pour m'emmener vers l'arrière de la demeure comme l'avait demandé le maître, elle sentit que son emprise n'avait plus lieu d'être et jeta un coup d'œil en arrière avant que mon bras ne viennes prendre possession de son cou et qu'une lame soit présentée devant elle.

"Je suis désolée Nameko, il est hors de question qu'il vous arrivent quoique ce soit par ma faute... Dit au vieux que je le remercie de m'avoir donné une seconde vie."

Enfonçant la porte d'un grand coup de pied, je sortais du bâtiment en direction de la garde, pour me positionner devant eux, la lame aiguiser du sabre sous la gorge de Nameko, jouant le rôle du méchant dans l'histoire.

" Toi là ! Relâche donc cette jeune fille et nous pourrons faire en sorte que ta mort, ne soit pas trop douloureuse"

" Je n'ai pas besoin d'elle pour me débarrasser de vous ! Ramener vos fesses par ici que je vous botte le cul !"


Déterminé, à jouer le rôle du kidnappeur et du fugitif, je poussai violemment Nameko en direction des soldats pour freiner leurs élans, pour fuir rapidement vers l'arrière de la cour, levant pour la dernière fois la main en l'air, en signe de reconnaissance éternelle envers le vieux, qui ferma les yeux sans dire un mot, tandis que la garde s'éloigna de la demeure pour me retrouver.

Allonger sur le sol boueux de la place, le visage écrasé contre celui-ci, observant les pieds d'un samouraï poser sur le sommet de mon crâne pour me tenir impuissante et du regard des ombres qui envahissaient l'espace, j'aperçus mon propre reflet à travers une lame bien tranchante et aiguiser.

" Toi qui as fouler nos terres et par-dessus tout mis en péril la paix instaurée par notre empereur ! Au nom de notre souverain, ta sentence sera la décapitation ! Pas de pitié pour les monstres comme toi qui menace nos habitants et nos enfants et gâcher une balle serait te donner une belle mort ! Que cela puisse servir de leçon à toute personne qui perturberons à l'avenir nos idéals "

Redresser par l'un des soldats japonais au niveau des cheveux pour me retrouver la tête en arrière, je me suis mise à rire de nervosité, mes larmes se rejoignaient à la pluie qui couvrait le son dès tambours de la faucheuse et afficha un léger sourire en direction du ciel. Avant que la lame de celui-ci prennent de l'élan et qu'au dernier son du battement qui retentissait, signalent le fil de ma vie qui allait être rompu, mes lèvres se mirent à bouger d'elle-même pour ne dire qu'une simple phrase :

"Je n'ai jamais voulu naître dans ce monde, si je pouvais tout recommencer, je voudrais disparaître"

Avant que la lame n'atteigne la gorge, un violant orage tomba sur la place, foudroyant les hommes qui se tenaient non loin du choc. Lorsque l'aveuglante lumière disparut, la jeune femme avait disparu, ne laissent derrière elle, qu'une mèche de cheveux gris. Tous les habitants de la ville témoin de la scène, on pensées que la foudre l'avait réduit en cendres et que justice était faite. Peu de temps après le drame qui venait de tuer deux samouraïs, la vie repris son cours normale.

Nameko ce fiança à l'âge de 18 ans avec un jeune soldat pour y fonder sa propre famille, quand au vieil homme, il arrêta toute activités pour se consacrer à ça futur famille et chaque soir, il se dirigea prêt d'un arbre où il y déposa une fleur, prêt d'un bout de bois bien taillée avec écrit dessus "Naga" ainsi qu'un sabre vieux et plutôt rouillez posé à côté.

Nage est ce qu'on peut appeler une bombe à retardement. Très discrète et timide, depuis qu'elle est petite et à suivre exactement tout ce qu'on lui disait, elle a commencé à changer cette apparence d'elle-même après la destruction de son foyer. Déterminé de vouloir survivre, l'adorable enfant qu'elle était à complètement disparût pour laisser place à une tête brûlée, provocatrice, insultante, ignorant toute conséquence de ses actes. Il fallut l'arrivée de son maître pour la remettre sur le droit chemin. Têtu et borner durant ses longues années passé avec lui, Naga n'est pas du genre à respecter les personnes et encore moins les nobles. Heureusement pour tout le monde, son maître réussit à calmer ses airs de rebelle et de pimbêche effrontée.

Dès l'âge de ses 21 ans, Naga adopta un style de garçon manqué, optant pour des nefs en acier et se comporta exactement comme le maître. D'une voix ferme et plutôt froide, elle à tendance à rapidement s'énerver quand les personnes ne se sont pas décidées de choisir. Mais sous ses airs de femme de mafia, insensible d'apparence et aussi froide qu'un bloc de glaçon gelée, Naga n'a pas pour autant oublier qu'elle est une femme et s'adosse parfois à laisser s'échapper un sourire ou une expression adorable envers les gens qu'elle apprécie beaucoup. Mais ce genre d'expression est aussi rare que légendaire. En tenant compagnie assez souvent à Naga, vous comprendrez que c'est une femme qui est forte en affaire et dans les choses qu'elle aime pratiquer, très peu adepte des personnalités lâches et faibles, c'est une femme forte et indépendante qui croque la vie à pleine dent, fêtard et adepte de défis de force, mais qui peut s'énerver à tout moment et n'a pas sa langue dans sa poche.


Dans ma tête

Derrière l'écran

Une main d'acier  2jjFc7C Je me présente, Leyfeen et j'ai 24 ans ! Je viens de la Seine et Marne et j'ai une énorme passions pour tous se qui est travaux manuelle ! J'aime beaucoup les jeux de type fantastique et RPG et les manga ! J'ai repris le rp après 2 ans de pause et j'ai découvert le forum par pur hasard. Je m'excuse d'avance si je peux mettre du temps à répondre car je suis pas mal occupée :D

dé

Débarquement impromptu

Comment s'est passé l'arrivée de ton personnage à Lux? Comment l'a-t-il pris? Que pense-t-il des cercles, des bénédictions ? Qu'est-ce qu'il fait comme métier ? Ça fait combien de temps qu'il est là? S'il est là depuis longtemps, qu'est-ce qu'il pense des gens plus récents? La Terre lui manque
? Il regrette d'être là? Il vit où ? Sa passion? Il s'est fait des potes ? Est-ce qu'il a changé de cercle depuis son arrivée? Qu'est-ce qu'il pense des Mondains? Qu'est-ce qu'il pense des Roublards ?

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My Power is wow

avatar de la guilde

" Petite phrase un peu longue et très swag."

Anonymous
Invité
Invité
Re: Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 2:30
Test du lancer de dés pour la bénédiction ^^
Anonymous
Lux Essemus
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Re: Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 2:30
Le membre 'Naga Nobusa' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Bénédiction' : 8
Lux Essemus
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Arwel
Savoir
Re: Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 9:23
Bienvenue Naga !
Ah rip aussi pour le lancer de dé, sur 3 nouveaux un seul à pris toute la chance xD
Arwel
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Invité
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Re: Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 9:34
Ah aha ah ! Merci Arwel ^^ D'un côté cela me va plutôt bien ! Naga n'est pas quelqu'un de se qu'on pourrait dire de clean X) Je ne cherche pas à obtenir un super grand pouvoir et sa seule puissance provient uniquement de son acharnement et de son dur travail ^^
Anonymous
Invité
Invité
Re: Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 11:17
Hello ! Super fiche et super histoire :o !

J’ai hâte de rp avec toi !
Anonymous
Invité
Invité
Re: Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 11:29
Au plaisir de pouvoir rp avec toi également :p
Anonymous
Roublardise
Luka
Roublardise
Re: Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 14:28
Bienvenue !!
Luka
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Invité
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Re: Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 14:48
Merci Luka :)
Anonymous
Confection
Kraftwerk
Confection
Re: Une main d'acier
Lun 5 Aoû - 17:51
よろしくお願いいたします、ナガさん | Bienvenue Naga, j'espère que l'on pourra RP ensemble !
Kraftwerk
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