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Inquiétude chez le barman

Arwel

Inquiétude chez le barman (PV Arwel) Vinicius-goro-beastboy

         Début de matinée dans l'appartement que j'ai pu me payer après plus de trois ans au service du Bar de la taverne. Je venais de rentrer après la balade de Luka et maintenant c'était enfin un temps pour moi et mon petit déjeuner. Des œufs brouillés avec du bacon me suffit pour avoir de l'énergie à revendre pour la journée. Je pense a ouvrir ma fenêtre pour aérer la pièce, la problème avec cette appartement est que quand on cuisine l'odeur imprègne toutes les pièces alors un peu d'air fera du bien.

Ayant du temps devant moi je décide de travailler sur les prochains cocktails pour la taverne, la dernière fois j'avais essayé de mélanger du citron vert avec de l'absinthe. Aujourd'hui je pense me pencher sur des mélanges sans alcool pour pouvoir plaire à tout le monde même si les fougueux préfèrent souvent des remontants un peu plus fort. Avant de m'y mettre je sens la tête de mon chien se poser sur ma jambe, je penche ma tête sur le côté en voyant que Luka m'apporte sa gamelle vide. Merci ma grande j'ai compris le message ! Je caresse doucement sa tête avant de mettre le reste de mon bacon non consommé.

Je prends mon tablier fétiche, le bleu avec une tête de chien qu'on m'a offert lors de mon intégration au bar. Lorsque je me lave les mains avant de commencer j'entends frapper à ma porte, c'était des coups un peu irrégulier, assez irrégulier pour que ce soit un peu louche. Je soupire légèrement en m'étirant et en m'adressant à mon chien.


« Qui peut me déranger en début de matinée ? Peut-être ma voisine qui a besoin d'aide. »

Je pense qu'une personne normale ignorerait son prochain mais ce n'est pas mon cas. Je ne prends pas le temps d'enlever mon tablier et me dirige vers la porte d'entrée, je déverrouille la porte en empêchant Luka de prendre les devants, la connaissant elle pourrait sauter de joie sur n'importe quel inconnu. Pendant que j'ouvre la porte je sens comme des griffes s'accrochant sur mes cheveux, en y regardant de plus près j’aperçois quelques oiseaux qui s'étaient installés sur ma tête et mon épaule. Il fallait vraiment que ça arrive maintenant .
     

Justice
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Une nouvelle ère commence

Inquiétude chez le barman (PV Arwel) 1572195450-arwel5755
Arwel ne faisait jamais attention aux nouvelles. Dans sa petite vie tout ce qui l’intéressait étaient la vente de ses livres ainsi que le prix de la nourriture. La politique ? Inintéressant. La criminalité, les meurtres, la corruption, il n’en avait absolument rien à faire. Touchez à la nourriture cependant et Arwel arrivera en force pour la défendre, ça où ce qui concerne la production et vente de ses livres. On n’était professionnel où on ne l’était pas. Pourtant, peu importe à quel point les journaux et crieurs publiques lui étaient indifférent, une nouvelle en particulier retint son attention. Un meurtre. Un meurtre dont il connaissait la supposée victime.
Butch.
En entendant cela il avait essayé d’entrer en contact avec la jeune femme, il la chercha partout, il questionna tous ceux qui pouvaient la connaître ainsi que l’avoir vu de près ou de loin. Rien. Aucune piste. Elle avait disparu.
Arwel était sous le choc. Il refusait de croire qu’elle avait été assassinée, il refusait de croire qu’elle était morte. Elle allait finir par réapparaître quelque part, elle reviendrait le voir à une dédicace de livre, elle lirait ses nouveaux ouvrages. Mais rien de tout cela n’arriva. Plus le temps passait et plus Arwel devait se faire une raison. Il ne la reverrait sûrement plus.

Le meurtre avait été attribué à son métier. Un policier tuer dans l’exercice de ses fonctions par des criminels, en l’occurrence des Roublards. Cela eut pour effet d’effrayer Arwel, pas dans le sens que l’on aurait pu croire cependant. L’écrivain appréciait les Roublards en général, il ne les voyait pas comme des criminels ou des gens particulièrement dangereux, pour lui c’était des individus qui n’avaient pas eu beaucoup de chance et faisaient ce qu’ils pouvaient pour s’en sortir. Toutefois il se pouvait qu’ils aient tué Butch pour une autre raison. A vrai dire Arwel pouvait penser à une vingtaine de raisons au moins, voire plus (merci l’imagination débordante) mais celle qui retenait le plus son attention et le perturbait était le fait qu’elle était homosexuelle. Il se souvenait de la manière naturelle dont elle lui avait parlé de cela, comme si cela était parfaitement normal. Arwel avait trouvé ça brave de sa part de lui partager ses préférences alors qu’il est toujours persuadé que c’est une révélation dangereuse.
Butch a sûrement pu être tué pour de nombreuses raisons mais la seule que retint Arwel fut celle-ci : elle était gay et on s’en est pris à elle pour cela.

Autant dire que cette conclusion dérangea grandement l’écrivain. Au moindre faux pas il pourrait lui arriver la même chose, il se devait de renouveler de prudence.
Le gallois se mit à se méfier encore plus de tout, il était constamment sur les nerfs et encore plus craintif que d’habitude. Personne ne savait son secret mais il vivait de nouveau dans la peur de ce qui lui arriverait si on le perçait à jour. Cette peur le maintenait en état d’anxiété permanent qui l’empêchait de dormir et de travailler correctement. La fatigue le rattrapait et un jour il se trouva à errer dans la ville sans qu’il ne se rappelait la raison pour laquelle il était sorti. Ses pas le menèrent devant la porte d’un certain individu. Il toqua. Encore, et encore.
La vision qui l’accueillit lorsque la porte s’ouvrit lui fit retrouver quelque peu ses esprits.
Le beau jeune homme à la peau verte était vêtue avec un tablier adorable et des oiseaux s’étaient nichés sur sa tête. Comment rester de marbre face à une vision pareille ?

Arwel pouffa de rire.

« 
Bonjour Blanche-Neige.  »
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Inquiétude chez le barman

Arwel

Inquiétude chez le barman (PV Arwel) Vinicius-goro-beastboy

         Je découvre sur le palier de ma porte Arwell, j'ai déjà eu l'occasion de lui parler, c'est quelqu'un de bien et puis Alasie me parle parfois de lui lorsqu'elle a bu quelques verres de trop. C'est un jeune homme très mignon mais je ne sais pas pourquoi il vient à ma porte et pas à un de ses amis plus proche. Il veut essayer de me convaincre de le laisser rentrer dans la taverne peut-être . Beaucoup de personnes d'autres cercles veulent parfois m'utiliser pour cette raison mais je ne pense pas que ce soit le cas de cet écrivain.

«  Bonjour Blanche-Neige.  »

Il est vrai que la vision doit-être amusante pour n'importe qui, je ris doucement en me grattant l'arrière du crâne. Un homme à la peau verte, un tablier autour de la taille et des oiseaux nichés sur sa tête.. C'est un peu déconcertant.


« Je t'en prie, entre ! Tu peux t'installer sur le canapé »

Je ne lui demande pas ce qu'il fait ici, pas pour le moment, Luka est contente d'avoir de la visite et se frotte a notre invité du jour. Avant qu'Arwel remarque les oiseaux il semblait vraiment perdu dans ses pensées, il lui a fallut quelques secondes pour voir que j'avais ouvert la porte... Serait-il là par pur hasard ?

Pendant que je réfléchis les oiseaux décident de s'envoler et de se poser sur le rebord de ma fenêtre ouverte, mon pouvoir ne doit plus les affecter plus que ça, enfin jusque-là prochaine fois. Je regarde le rebord de ma cuisine et prends en main les deux cocktails que j'étais en train de préparer, je les dépose sur la table basse en face de l'écrivain


« Tu voudrais bien goûter ? Je teste des nouveautés pour le bar et je ne sais pas si ça peut plaire...  »

Je lui souris en posant ma main sur son épaule et m'installe à côté de lui. Je ne veux pas le brusquer alors je décide d'y aller petit à petit. J'ai toujours eu le don de mettre à l'aise les gens autour de moi, j'espère que c'est également son cas.

     

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Doki Doki

Inquiétude chez le barman (PV Arwel) 1572195450-arwel5755
Henry. A chaque fois qu’il le voyait cela lui rappelait tout un monde auquel il n’avait pas complètement accès. Il avait beau être « proche » de certains Fougueux, il ne savait pas ce qu’il se cachait derrière, ce qu’il se passait concrètement dans ce cercle et surtout dans La Taverne. Il se souvient de sa tentative d’infiltration qui avait été voué à un échec certain dès le début, si Alban ne lui avait pas sauvé la mise cette tentative aurait pu être très douloureuse pour l’écrivain. Savoir qu’il y avait tout un monde qu’il ne pourrait voir le frustrait. Évidemment c’était aussi le cas pour les autres Cercles mais seulement les Fougueux attisaient sa curiosité ainsi pour le moment. Il n’avait guère d’intérêt à voir ce que fabriquaient les Confectionneurs dans leur coin (il n’était pas un scientifique il aurait sûrement du mal à y comprendre quoique ce soit), les Créatifs faisaient forcément de l’art auquel il avait accès une fois qu’ils décidaient de le rendre public (et donc qu’ils étaient satisfait de leur création), les Droits ne cachaient rien de particulier, n’est-ce pas ? Son Cercle à lui n’avait pas une activité très importante, chacun se contentait de travailler sur ses projets dans son coin. Il ne voulait pas savoir ce qu’il se passait chez les Mondains car il s’en méfiait et les Roublards… Il valait mieux pour Arwel qu’il ne songe pas à eux.

Jamais il ne pourrait voir Henry dans son élément naturel, à la Taverne, à servir les Fougueux, à discuter avec eux, à rire avec eux, à les réconforter, les conseiller, bref tout ce qu’un barman pouvait être en mesure de faire. Il ne voyait pas toute une partie de l’homme et il ne pourrait sûrement jamais le voir. Couard comme il était il n’y avait aucune chance qu’il rejoigne les Fougueux un jour, il n’avait pas sa place parmi eux. C’était sans doute ce qu’il devait retenir de tout cela. Il était en contact avec les autres Cercles, en était plus ou moins proche, mais il n’avait pas sa place parmi eux. Sa place se trouvait parmi les travailleurs qu’étaient les Savants.
Il fut sorti de ses songes par un chien qui vint l’accueillir chaleureusement, décidément tel maître tel animal. Arwel caressa la tête de l’animal en n’était pas très sûr de ce qu’il faisait. Il ne savait pas s’y prendre avec les animaux et été rarement en contact avec. Du moment que le chien ne le mordait pas il ne devrait pas avoir à s’en inquiéter…

Une fois assis sur le canapé d’Henry il serait bien trop facile pour Arwel de s’imaginer tout un tas de scénario entre lui et le bel homme à la peau verte. Et il n’y manquerait pas une fois qu’il serait seul devant une feuille de papier avec un crayon en main, mais pour l’heure il avait d’autres préoccupations. Des préoccupations qui l’empêchaient de faire quoique ce soit ces derniers temps. Et il s’était retrouvé chez Henry pour… Il ne savait pas très bien pourquoi. Lui rendre visite l’aidera peut-être à le détendre et lui permettre de se concentrer de nouveau sur son travail. Il l’espérait.
Le barman lui tendit un verre en voulant son avis sur la boisson qu’il venait de faire et l’écrivain s’exécuta. La boisson au goût fruité et sucré plût tout de suite à Arwel qui regretta une fois de plus de ne pas pouvoir goûter aux délices que pouvait faire l’homme qui venait de s’asseoir à ses côtés.
Oh mon dieu mais il pouvait sentir sa cuisse contre la sienne ! Respire Arwel, respire !
Échec, redémarrer le programme.

«
  Tu es parfaitement délicieux. Euh je veux dire cette boisson est parfaitement délicieuse. »

Les joues du gallois chauffaient et viraient au rouge. Quelle bêtise était-il encore en train de raconter. Il n’était pas venu là pour s’embarrasser devant le beau barman !

« 
Qu’est-ce que c’est ? Est-ce que toutes tes créations ont aussi bon goût que tu en as l’air ?  »

Apparemment si.

« 
Ton canapé est confortable…  »

Ne voyant qu’il ne faisait que s’enfoncer Arwel décida qu’il était plus sage de se taire.
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