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Savoir
Une occasion parfaite
Arwel avait envie de changer ce qu’il écrivait. La mission qu’il avait faite récemment lui avait réellement donné envie d’écrire un roman policier avec des enquêtes, des énigmes et des personnages qui allaient être confrontés à tout cela et résoudre ces casses-têtes. C’était son prochain objectif et il avait durement travaillé depuis qu’il était revenu de mission pour écrire ce livre. N’ayant pas l’habitude d’écrire dans ce domaine-là les difficultés étaient nombreuses, trouver des énigmes digne de ce nom, concevoir une histoire assez palpitante et mystérieuse pour accrocher les lecteurs et le plus difficile était sans doute de savoir comment procéder pour tout cela. Arwel n’avait pas les ressources de la Terre, il avait peu de livre à sa disposition qui peuvent l’inspirer, il n’a pas autant de cas de crimes qu’il pouvait consulter, il travaillait un peu dans le brouillard et le chemin était tortueux pour avancer. Il avait eu l’idée de poser des questions aux membres de la Droiture pour avoir plus de renseignements mais comme bien souvent son manque de courage lui posait problème. Il avait besoin d’information mais n’osait pas affronter les membres de la Droiture.

Bien évidemment quand il eut rendez-vous avec son éditeur il lui fit part de son avancement et lui dit qu’il avait besoin de plus ressources pour continuer son travail. Et comme on pouvait s’y attendre, Arwel partagea bien le fait qu’il prévoyait de voir des membres de la Droiture afin de récolter les dites ressources. Il l’avait dit à son éditeur, il ne pouvait plus reculer désormais. Comme bien souvent il se mettait au pied du mur et n’en sortait que pour faire bonne impression, mais du moment que cela marchait ce n’était pas très grave, n’est-ce pas ?
En tout cas la chose était dite et le gallois avait décidé d’écrire une lettre au cercle des Droits afin de savoir si il pouvait rencontrer l’un des leur afin de leur poser quelques questions pour un roman qu’il écrivait. Il eut de la chance car quelqu’un accepta de le recevoir. Il devait se rendre à son domicile, ce qui rendait le gallois nerveux au pas possible, mais il se mit sur son trente-et-un et alla frapper à la porte de la demeure. Il n’eut pas à attendre bien longtemps, une jeune femme en sortit presque aussitôt mais alors qu’Arwel s’apprêtait à se présenter elle l’ignora complètement et s’en alla.

Ce n’était pas ce qui était prévu. L’écrivain essaya d’attirer son attention, en vain, et se résigna à la suivre dans un profond malaise en espérant qu’elle daignerait reconnaître son existence. Il arrêta de l’interpeller et la suivit sans un bruit, comme une ombre silencieuse, ou un stalkeur, sauf qu’il n’était pas du tout discret et qu’il peinait à la suivre. Les femmes ne marchaient pas plus lentement que les hommes ? Quand elle s’arrêta enfin Arwel était à bout de souffle. Il voulu tenter une nouvelle fois de lui parler mais quand il vit ce qu’il avait sous les yeux il en eut le souffle coupé d’une toute autre façon. Une scène de crime. L’occasion était trop parfaite.

Codage par Libella sur Graphiorum
Arwel
Messages : 162
Pièces : 44

Feuille de personnage
Cercle: Savoir
Lueur: Détecteur de secrets

"Il y a une forte ressemblance de famille entre tous les méfaits, et si on possède sur le bout des doigts les détails d'un millier de crimes, il est bien extraordinaire que l'on ne puisse débrouiller le mille et unième.

Élémentaire, mon cher Arwel !

Elle est parfois d'une humeur massacrante sans réelle raison. Avec le temps, ses sautes d'humeurs sont devenues une habitude - sans en devenir faciles à vivre. La solitude en est le remède le plus efficace et le plus insupportable. La "jeune" femme noue les rubans du haut de sa robe, tresse rapidement ses mèches blondes, et enfile ses bottes et son chapeau.

Il ne vaudrait mieux pas mettre le nez dehors aujourd'hui, mais le devoir n'attend pas. Que fait la police, déjà ? Pourquoi m'appeler moi ? Ah, si je croise un collègue, ça va barder ! Sortie du lit il y a une heure à peine (ce n'est pas quelqu'un de matinal) par un messager trop bruyant et nerveux à son goût, elle en a oublié son programme du jour, ainsi que comment sourire. On verra plus tard.

Tiens ? Est-ce qu'il lui a semblé entendre quelqu'un toquer alors qu'elle s'apprêtait à ouvrir la porte pour partir ? Eh bien, oui. Merde. J'avais oublié. Quoiqu'il lui veuille, il attendra, ce petit savant. "Pas le temps.", lâche-t-elle simplement avant de s'éclipser comme un ouragan. Elle emprunte diverses rues dans un cheminement aussi tortueux que celui de ses pensées qui se remémorent le cas du jour.

Il y a du sang, du verre brisé, des bouts de tissu, des traces de pas embrouillées et un petit carnet au sol de la bâtisse dans laquelle on l'a conviée. "Charmant." Sans perdre une minute de plus, elle s'approche des éléments principaux et les examine avec minutie. C'est en se relevant, le carnet en main, pour poser des questions à la personne qui les attendait ici, qu'elle manque de se heurter au brunet… qui l'a suivie depuis le début.

"Ah. Je ne pensais pas que tu me suivrais jusqu'ici. Je travaille, qu'est-ce que tu veux ?" On pourrait faire plus aimable. Sa voix est toutefois maintenant plus teintée de curiosité que d'animosité - c'est qu'il a du culot de l'avoir suivie jusqu'ici.
@Arwel
je sais pas ce que je fais mdr
Anonymous
Savoir
L'imagination en émoi
Un corps gisant au sol, le visage maqué par l’horreur, du sang et des tripes qui ressortent ! Une fenêtre dont la vitre avait explosé en mille morceaux et dont les restes reposaient au sol près du corps. Un mystérieux message qui se trouvait sous le cadavre écrit avec du sang et les restes d’un vêtement pendait à la fenêtre. Le détective, qui était une femme, venait d’arriver sur les lieux du crime et avait déjà songé à au moins 10 scénarios possible rien qu’en ayant vu la scène de crime du premier coup d’œil. Son génie intellectuel était déjà à l’œuvre et elle sortit des gants afin de pouvoir examiner la scène plus en détail sans altérer les preuves. Elle examina le corps avec précision en relevant des détails qui pouvaient peut-être être insignifiant mais qui pourraient avoir une importance plus tard pour déceler le coupable. Elle trouva ensuite le message écrit avec le sang de la victime, malheureusement ce n’était pas le nom de son agresseur mais un message énigmatique destiné sans aucune doute à un seul individu qui était capable de le comprendre. Un code à décrypter donc. Le détective continua son inspection et découvrit un carnet, elle regarda le contenu et ce qu’elle y trouva devait être important car elle décida de le conserver dans une des poches de son long manteau. Après avoir examiné le reste de la scène, son brillant cerveau avait désormais de nombreuses hypothèses quant à ce qu’il s’était passé mais aucune certitude. C’était le moment d’enquêter. Elle se tourna vers son fidèle assistant et lui demanda de contacter les proches de la victime afin de savoir si l’un d’eux pourrait décrypter le message.

L’enquête commençait. La chasse au tueur, la recherche de la vérité, le début de la résolution d’un puzzle. Tout commençait ici et maintenant.


Arwel sortit de sa rêverie lorsque Dahl daigna enfin lui adresser la parole et malheureusement pour lui il n’avait absolument pas écouté ce qu’elle venait de lui dire. N’osant pas la faire répéter il se doutait qu’elle avait dû lui demander ce qu’il faisait ici, il l’avait suivit après tout.

«  Bonjour. Nous étions censé nous voir afin de parler de votre travail mais je vois que vous êtes occupé alors je me contenterai de vous observer. Ne vous occupez pas de moi et faites comme si je n’étais pas là, je ne vous dérangerai pas, promis.  »

Le gallois avait la chance de voir un détective à l’œuvre, il ne pouvait pas rêver mieux comme situation pour récolter des informations. Et si jamais il n’en avait pas assez il pourrait toujours lui poser des questions quand elle aurait fini son travail, enfin si elle daignait lui répondre. Le détective ne semblait pas avoir un caractère facile mais si elle ne voulait vraiment pas parler à Arwel elle n’aurait pas acceptée sa requête, n’est-ce pas ?

Codage par Libella sur Graphiorum
Arwel
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Cercle: Savoir
Lueur: Détecteur de secrets

"Il y a une forte ressemblance de famille entre tous les méfaits, et si on possède sur le bout des doigts les détails d'un millier de crimes, il est bien extraordinaire que l'on ne puisse débrouiller le mille et unième.

Élémentaire, mon cher Arwel !

Comme il est étrange, ce garçon. D'abord il la suit jusqu'ici sans mot dire - et il a bien du courage ! -, et ensuite voilà qu'il ne veut plus la déranger ? Elle hausse un sourcil aussi interrogateur que perplexe. Bon. Pourquoi pas. Elle le fixe quelques secondes. Plus jeune qu'elle, propre sur lui, regard fuyant et gestuelle hésitante - il est impressionné (et impressionnable). Des cheveux longs (plus longs que moi ?) et des vêtements modernes, une allure fragile - et il demande des informations sur son métier ? On dirait un enfant qui se cherche. Est-il né de la dernière pluie ?

"Ah oui, c'est vrai…" Effectivement, elle s'en souvient, à présent. Un Savant, un écrivain qui cherche à briller dans le policier. C'était vraiment aujourd'hui ? En tout cas, il y a de l'idée. Combien penseraient à se documenter de la sorte avant d'écrire ? "Eh bien, fais comme tu veux. Moi je fais mon travail, et si tu as des questions, pose-les, et espère que la réponse soit satisfaisante…" Sourire en coin. Peut-être que leurs métiers ne sont pas si différents, après tout.

"Bref." La blonde se tourne vers son client. "Vous avez bien laissé les lieux intacts depuis que vous m'avez appelée ? Personne d'autre n'y a pénétré ? À quelle heure exactement avez-vous découvert la scène ?" Cette fois-ci, c'est son propre carnet qu'elle sort de sa poche pour prendre des notes. Les choses sérieuses commencent.

Les réponses de l'homme visiblement perturbé par la scène sont évasives, il semble submergé par ses émotions. Sa voix tremble et son souffle est court, son regard fixe désespérément le sol et la porte de la demeure. L'oeil avisé de la détective ne manque aucun détail, mais qu'en est-il de celui de l'écrivain ?

"Pourquoi veniez-vous ici ce matin ? Quelle était exactement votre relation avec la victime ? Savez-vous pourquoi on aurait voulu se débarrasser d'elle ?" L'interrogatoire et l'observation continuent - c'est un métier où il n'y a pas une seconde à perdre.

Surtout quand le client est suspect.
@Arwel
toujours plus de yolo
Anonymous
Savoir
Interrogation
La dame semblait avoir complètement oubliée qu’elle avait rendez-vous avec Arwel mais celui-ci ne s’en formalisa guère, après tout il avait la chance d’assister à une véritable enquête policière, il n’aurait pas pu rêver d’une meilleur occasion pour récolter des informations pour un futur livre ! Il avait sorti son carnet pour prendre des notes et notait absolument tout ce qu’il pourrait lui être utile, autant pour résoudre le meurtre que pour écrire un roman, il ne fallait rien laisser au hasard pour ces deux choses-là ! Bien sûr quand on écrivait il y avait une part de créativité, d’invention mais si la base qu’on utilisait n’était pas solide alors tout le récit se cassait la gueule et personne ne voudrait lire un mauvais roman. Et si personne ne le lisait Alasie n’aurait plus de raison de le financer et il devrait de nouveau travailler en tant que serveur pour gagner sa vie, et franchement il préférait ne plus avoir à retourner à ces jours-là.
C’est donc avec une très grande concentration qu’Arwel examinait tout ce qu’il se passait autour de lui. Le témoin que Dahl interrogeait semblait sous le choc de ce qu’il venait de se passer, qui ne le serait pas après un meurtre ? Est-ce qu’il fallait le suspecter ? Par principe, tout le monde était suspect lors d’une affaire de meurtre, certains l’étaient plus que d’autres mais il arrivait que le coupable ne soit pas celui qu’on attendait et quelqu’un qu’on pouvait ne pas avoir suspecté du tout. Rien n’était sûr quand on recherchait la vérité et il ne fallait rien négliger. Cela rappelait à Arwel sa quête pour sauver les poissons et il sentit qu’il allait devoir reproduire le même exploit. Quand bien même il n’avait aucune idée de comment il avait réussi à produire un tel exploit en premier lieu.
Dahl avait intérêt à être bonne pour son métier.

Si l’intimidante détective n’était pas suffisante pour obtenir des réponses claires de la part de l’individu peut-être que l’écrivain devrait entrer en scène ! Comment allait-il s’y prendre pour faire parler quelqu’un ? Il n’en avait pas la moindre idée !

«  Bonjour, je m’appelle Arwel et j’assiste le détective Dahl pour aujourd’hui. Est-ce que vous pourriez me dire votre nom, monsieur ?  »

«  G-Georges... »

Hey il avait au moins réussit à lui faire sortir une réponse !

«  Bien Georges, qu’est-ce qui vous motive dans la vie ? Auriez-vous un motif pour avoir tuer la victime ? Ou alors pouvez-vous nous dire pourquoi cela ne peut absolument pas être vous ? Après tout si vous n’êtes pas coupable vous n’avez rien à craindre !  »

Et c’est là que cela fit « tic » dans l’esprit d’Arwel. Son pouvoir ! Il était capable de déceler les secrets des individus ! Cela ne marchait pas pour tous les secrets mais une des réponses de Gorges allaient bien l’aiguiller dans le bon sens ! Si il était vraiment innocent son pouvoir ne décalerait rien d’anormal, toutefois si il avait quelque chose à cacher… L’écrivain activa son pouvoir et attendit la réponse de l’individu. Il avait intérêt à être convaincant dans ses mensonges si il comptait mentir où le gallois saurait qu’il ment. Ce pouvoir était tout de même vraiment pratique, pourquoi n’était-il pas devenu détective ?

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Arwel
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