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Fougue
Sereia
Fougue
Sereia - UC
Ven 20 Sep - 22:57

SereiaFeat Annebeth Chase

Carte d'identité

Pseudo | Sereia, un surnom que je me suis choisie il fût longtemps. Nationalité | Je suis née à Londres, bien que j'ai quelques origines italiennes me venant de ma génitrice. Mon géniteur fût celui me léguant ses origines britannique. Âge réel | Je suis née en l'an 1840, ce qui me fait, aujourd'hui, 178 ans... wow, ça me rajeunit pas, tout ça. Âge physique | C'est bluffant, depuis que je suis ici, j'ai gardée l'apparence que j'avais à mes 20 ans. Année de disparition | En 1860, le jour de mon anniversaire. Particularité |  Je suis quelqu'un qui a un énorme besoin de se déplacer. Ainsi, je reste rarement longtemps à un seul et même endroit. Oh, je peux y rester quelques temps -plus si j'aime l'endroit où je suis- mais mon besoin d'aventure prendra vite le pas sur le reste et je devrai impérativement bouger, au risque de devenir folle avec le temps. Sinon, erhm, le fait que je sois une aventurière se voit dès que l'on me croise.

Ma vie sur Terre

Installez-vous confortablement, je vais vous raconter une histoire. Il était une fois, en 1838, un homme et une femme tombèrent follement amoureux. La dame, du nom de Zenobia Zylpha Butler, était une dame distinguée de la haute société. L'homme, Lucius Gilbert Langdale, était un forgeron réputé du petit village où il habitait. Il vivait une vie modeste, tandis qu'elle vivait une vie mondaine qu'elle détestait. Puis, une journée, ils se rencontrèrent et se fut le coup de foudre immédiat. Ils se mirent vite à se fréquenter, mais les parents de Zenobia, des êtres vils et cruels, décidèrent de les séparer à tout prix. Cela leur prit un an, mais bientôt, une rumeur se mit à circuler sur Lucius, disant qu'il aimait beaucoup la compagnie des femmes. Zenobia, en entendant la rumeur, crut alors que ce fût vrai et se réfugia chez ses parents, en larme. Ceux-ci la consolèrent du mieux qu'ils purent, mais celle-ci était inconsolable. Elle tomba très vite en dépression. Mangeant peu, vomissant tout ce qu'elle mangeait. Un matin, sa mère en eut assez et fit venir le médecin qui leur annonça alors la terrible nouvelle, Zenobia était enceinte. Alors que celle-ci devenait folle de joie -comprenez-là, un petit bout de Lucius, là, grandissait dans son ventre- ses parents, eux, enragèrent rapidement et planifièrent rapidement un avortement -clandestin, évidemment-. Avortement qui n'eut jamais lieu, fort heureusement. Zenobia, en entendant ce que ses parents planifiaient de faire au petit être innocent qui grandissait en elle, s'enfuit, laissant derrière elle parents, richesse et vie mondaine. Elle fuit son pays natal -l'italie- pour aller dans ce que l'on appel Londres.

C'était vraiment différent de son pays, mais Zenobia adorait cela. Alors que les mois passaient et que son ventre grossissait, son attitude changea. Elle n'avait pas d'argent pour les nourrir, étant partie sans vivre de chez elle autre que ce qu'elle avait dans sa bourse. Elle dut alors très bite trouver un emploi et, disons que celui qu'elle trouva n'était pas des plus pieux. Tout d'abord, elle devint plongeuse dans un petit restaurant placé au centre de Londres. Le temps de sa grossesse en vérité. Le jour de l'accouchement, en voyant sa petite fille, un seul prénom lui vint à l'esprit : Evangeline.

Seulement, son petit boulot ne payait pas assez pour un bébé. Très vite, elle dût trouver autre chose. Fille de joie. C'est ce qu'elle devint. Et elle se rendit compte alors qu'elle aimait cela. La compagnie des hommes, qui la satisfaisait elle avant eux-même, c'était quelque chose qu'elle aimait follement. Elle était comblée. Elle avait une enfant sage qu'elle adorait et un métier qu'elle aimait. Mais le bonheur ne dura pas. Ses parents avaient envoyés des espions voir ce que leur fille faisait et, en la voyant ainsi se complaire dans la luxure, la traînèrent en procès pour lui enlever la garde de son enfant. Malheureusement pour elle, ils réussirent. Le jour où on lui enleva sa fille fut son jour de descente aux enfers pour elle, mais également pour son enfant.

Celle-ci se rendit bien vite compte, du haut de ses 5 ans, que ses grand-parents ne l'aimait pas du tout. Bien sûr, compte-tenu de son jeune âge, elle ne comprenait pas du tout pourquoi. C'est ainsi qu'elle leur posa la question. Et la réponse qu'ils lui firent la marqua à jamais "ton père est un bon à rien qui a réussi à nous voler notre fille. Tu es le fruit de cette relation interdite. Ainsi, nous te haïssons de toute notre âme, de tout notre coeur. Pour nous, tu n'es qu'une nuisance qui mériterait de mourir sur le bord de la rue. Mais bon, nos bonnes ne restent jamais longtemps et nous avons besoin que quelqu'un fasse le ménage ici, alors c'est ce que tu feras".

C'est ainsi que se déroula les dix années suivantes. Evangeline était devenue le bonne à tout faire de ses grand-parents. Elle faisait le ménage, le lavage, la cuisine -et elle n'avait aucunement le droit d'y toucher, attention- et c'était également elle qui donnait le bain à madame. Elle essaya bien de retrouver sa mère, mais jamais elle ne put avoir de ses nouvelles. Ses grands-parents lui avaient tellement bourrés la tête de mensonges qu'elle croyait désormais que sa mère l'avait abandonnée, la laissant aux mains de ses bourreaux. C'est pourquoi, dès l'âge de 10 ans, elle devint alors sa génitrice et non plus sa mère.

Souvent, le soir, Evangeline se couchait en pleurant sur son matelas dur et froid -car oui, elle avait une chambre, mais pas chauffée et elle était minuscule, c'était pratiquement un placard à balais le truc-. Elle était meurtrie de partout, des cicatrices parcourant son corps -les châtiments corporels étant quelque chose de normal pour ses grand-parents, quand un membre de leur personnel faisait quelque chose de pas correct, alors qu'Evangeline n'avait jamais fait un pas de travers-.

Puis, elle eut atteint rapidement l'âge noble de seize ans et c'est là que son réel cauchemar commença. Car avant ce n'était rien. On lui présenta un homme, Rufus Columbus Badger. C'était un petit duc du comté voisin et se grands-parents espéraient un mariage de convenance entre leur petite fille -qu'ils firent passer pour leur fille- et l'héritier Rufus. Celui-ci était un être cruel et assoiffé de sang. Pour lui, les femmes n'étaient bonne qu'à deux choses : coucher et entretenir le palais. C'est ainsi que le soir du mariage, Evangeline fut déflorer et que son enfer personnel, sous la forme de Rufus, se mit à la battre à n'importe quelle occasion. L'eau de son bain était froide ? Un coup. Sa nourriture n'était pas bonne ? Un coup. Elle ne tombait pas enceinte ? Dix coups.

Plus les années passaient et plus Evangeline dépérissait. Elle maigrissait à vue d'oeil, son corps se remplissait de bleu et de cicatrice et, doucement, un seul mot arriva en elle : vengeance. Elle en avait assez de souffrir, elle en avait assez de subir sans répliquer. Maintenant, elle avait atteint le point de non retour et c'est ainsi qu'un soir, alors que son époux dormait, elle attrapa une aiguille et la lui planta dans la nuque -elle avait lu un article disant qu'un aiguille plantée à la base du cou et y restant trop longtemps entraînait la paralysie du corps et, par la suite, la mort-. Elle savait que cela pourrait passer pour un arrêt cardiaque. Il n'y aurait ni sang, ni coups.

C'est ainsi que dans la nuit de ses 18 ans, Evangeline fût délivré de son violent de mari. Seulement, elle n'était pas heureuse pour autant. Ne dit-on pas que la violence apporte la violence ? Sa vie étant devenu un véritable carnage, elle décida de partir voyager. Découvrir le monde, de nouvelles cultures, de nouvelles langues. Seulement, sa route rencontra celui qui fût nommé par la suite Docteur Torture. Cet homme était une personne qui semblait bien sous tout rapport. Vous voulez connaître son histoire ? Laissez-moi vous raconter ce que je sais. Tout d'abord, il avait avant une pharmacie où il commettait ses crimes, mais bientôt, cela ne lui suffisait plus et il décida d'acheter un hôtel, endroit gigantesque où il aurait assez de pièces pour faire construire des pièges et des pièces cachées de torture. Ainsi, mécanisme laissant échapper poison, gaz asphyxiant, lame sortant du sol, ultrason, etc.

Evangeline trouva totalement par hasard son hôtel alors qu'elle se baladait tranquillement dans les rues. Elle avait vu une grande bâtisse au loin et, intriguée, était entrée légèrement guillerette dans l'établissement. C'est ainsi qu'elle rencontra pour la première fois celui qui sera, quelques temps plus tard, son bourreau et presque meurtrier. Elle fut une des victimes de l'incident qui se passa dans l'hôtel de Chicago. Dans sa chambre d'hôtel, alors qu'elle se dirigeait vers la salle de bain, une énorme lame sorti du mur et s'abatit droit sur le dos d'Evangeline, lui laissant une énorme marque ensanglantée sur celui-ci. Pleurant, le souffle haché de souffrance, elle s'effondra sur le sol, sanglotant de douleur.

C'est ainsi qu'elle et deux cents clients furent les malheureuses victimes de l'homme qui fut nommé par les médias "Docteur Torture". On sut, plus tard, que son véritable nom était "H. H. Holmes" et que c'était un récidiviste. Evangeline, pour sa part, fut probablement une victime collatérale de ce meurtrier, ne devant, au préalable, pas se trouver là de prime abord. Alors qu'elle sentait la vie la quitter, gravement blesser, mais pas encore à l'article de la mort, une seule pensée lui venait à l'esprit "partir, arrêter de souffrir, quitter ce monde qui, au final, ne lui apporta que mort et désolation".

C'est ainsi que, alors que la police entrait dans la pièce où devrait se trouver son corps, ils ne trouvèrent rien, à part une grosse tâche de sang.

Dans ma tête

Je suis quelqu'un qui a un énorme besoin de se déplacer. Ainsi, je reste rarement longtemps à un seul et même endroit. Oh, je peux y rester quelques temps -plus si j'aime l'endroit où je suis- mais mon besoin d'aventure prendra vite le pas sur le reste et je devrai impérativement bouger, au risque de devenir folle avec le temps. Sinon, erhm, le fait que je sois une aventurière se voit dès que l'on me croise.

Je ne suis pas à prendre avec des pincettes. Je m'énerve vite, pour un rien. Par contre je sais m'excuser quand c'est moi qui suis en tort. Têtue, j'essaierai de prouver par A+B que j'ai raison, avant d'alors admettre que c'est l'autre qui a raison.

Aventureuse, j'aime découvrir le monde. C'est quelque chose auquel j'ai pris goût sur terre. Découvrir de nouvelles cultures, de nouvelles langues... j'adore cela. Je suis patiente et pas farouche. S'il faut que j'attende un mois en vivant en pleine forêt, rien ne me dédaignera et je me plierai volontiers aux coutumes du village. Je n'ai pas peur de me salir et pour moi, ce n'est pas l'apparence qui compte, mais la personnalité de la personne. Vous aurez beau paraître crade et sentir à des kilomètres, je garderai un visage neutre et converserai tranquillement avec vous comme si de rien n'était.

Courageuse, rien ne me fais peur... enfin quasiment rien, s'entend. Comme tout le monde, j'ai quelques phobies -dont la peur du vide et des fonds marins-. Je n'hésiterai pas à aller au devant du danger, même si c'est mettre ma vie en péril, si ça permet aux gens avec qui je suis de s'en sortir vivant. Je n'ai pas vraiment peur d'y laisser la vie, considérant que je l'ai perdue à la seconde où mes grands parents l'ont recueillie.

Aujourd'hui, tout ce que je souhaite, c'est découvrir le monde où je suis et en profiter le plus possible, quitte à y laisser quelques plumes au passage.

Apparition Puisse le sort t'être favorable

Arrivée sur Lux

Gémissant, je reprenais doucement conscience, la douleur de mon corps étant toujours là, mais ténu, comme affaiblie par un facteur inconnu. Soufflant, j'ouvris doucement les yeux avant d'hoqueter, choquée. Où étais-je tombée, encore ? C'était quoi ce binz ? J'étais où moi, bordel ? Rien de ce que je voyais autour de moi n'avait de sens. Avant, j'étais en train de me vider de mon sang dans une pièce piégée et maintenant je me retrouvais en pleine clairière, la forêt m'entourant. C'était à n'y rien comprendre.

Curieuse, je jetais un oeil autour de moi, penchant la tête en essayant de comprendre où j'avais atterrie. Mais, rien à faire, je n'y comprenais absolument rien.

Puis, je me souvint. J'avais souhaitée quitter le monde, ne plus souffrir. Est-ce que mon vœux c'était réalisé ? Mais ça n'avait pas de sens. Comment les vœux peuvent-ils être réalisés ? Était-elle en plein délire à cause de la douleur ? Puis, tout d'un coup, quelqu'un s'avança vers moi, se présenta et me dit ce que je faisais ici. Ainsi, j'étais dans le monde de la lumière, hein ? Eh bah, j'en suis restée sur le cul. Plus ses explications avançaient, plus je grimaçais d'incompréhension. Puis, vint le sujet de sa lueur. Sa QUOI ? Attendez un peu là ! En plus d'être dans un monde inconnu, ont lui avait octroyé un pouvoir venu de nul part ? C'était quoi ce putain de bordel ?

Grognant, elle acquiesça, étourdie. Puis, la personne devant moi commença à me poser des questions. Ma date de naissance, mon âge, comment j'avais atterrie ici -pourquoi avais-je souhaitée ne plus souffrir-.. Mais ça ne la regardait pas ça, sérieusement ! Est-ce que je lui demande, moi, si sa grand-mère fait du vélo ? Secouant la tête, je recentrai mon attention sur mon interlocutrice, intriguée. Puis, enfin, vint la question tant redoutée. Comment est-ce que je m'appelais ? Grimaçant, je jetais un oeil autour de moi puis, avisant le soleil, un nom me vint, instinctivement. Sereia. Honnêtement, je ne savais absolument pas pourquoi j'avais donnée celui-là, mais c'était le seul qui m'était venu à l'esprit.

Puis, vint le moment où la personne devant elle la laissa tranquille après l'avoir conduit dans un appartement. Déboussolée, je regardai autour de moi, ne sachant pas du tout quoi faire. C'est pourquoi je pris la décision de m'allonger sur le lit au fond de la pièce, espérant oublier cette affreuse journée.

À mon réveil, je constatai avec horreur que j'étais toujours dans la même pièce, endormie dans un lit, ma foi, assez moelleux. Je remuai légèrement, un vague sourire me venant aux lèvres en me sentant m'enfoncer entre les draps. Un soupir bienheureux quitta mes lèvres avant que je ne décide de me lever, javais assez dormi pour aujourd'hui. Soufflant, alors que je m'étais redressée, ont toqua à la porte. Curieuse, je me dirigeai vers celle-ci et y retrouva un homme. Homme qui se présenta brièvement et me demande si ça m'intéressait de rejoindre le cercle des fougueux. Euh... certes, oui, mais encore ? C'est quoi ce cercle au juste ? À quoi ça sert, concrètement ?

Alors que je lui posais la question, celui-ci eut un léger rire et consentit à me répondre, sa voix grave résonnant dans ma chambre. Puis, ont m'appris alors une vérité que j'eu du mal à comprendre. Immortelle ? Comment ça immortelle ? Je ne vieillirais plus du tout ? Plus de ride ? Plus de douleur dans les articulations ? C'était quoi ce bordel. Choquée, ma bouche s'ouvrit légèrement sous les informations que mon cerveau avait du mal à traité.

Interloquée, j'écarquillais les yeux, avant de doucement acquiescer et de reprendre une expression calme, en façade. À l'intérieur c'était un bordel monstre, mais j'essayai de ne pas le montrer. Doucement, je sortis de mon hébétude et accepta de faire partie du cercle. Après-tout, n'aimais-je pas l'aventure et le danger ? Ce cercle était donc fait pour moi !

Aujourd'hui, je venais d'intégrer un nouveau monde, j'étais devenue immortel, j'avais intégrée un groupe amateur d'aventure comme moi et je m'étais donnée un nouveau but : explorer de fond en comble ce nouveau monde.

Mon pouvoir


Honnêtement, la première fois que mon pouvoir s'est manifestée, j'étais complètement perdue en pleine forêt. Je ne retrouvais pas la sortie et, alors que je désespérais et que j'implorais n'importe quel dieu existant, quelque chose en moi s'alluma et je sus instantanément où j'étais et comment en sortir. Curieusement, sur le moment, je me foutais comme de ma première chemise de cette sensation étrange. Tout ce que je savais c'est que je pouvais enfin sortir de cet endroit de malheur et que je saurais retrouver mon chemin.

Un grand sourire, aux lèvres, je pris la direction de la sortie, un regard vaguement extatique au visage. C'est seulement en sortant de celle-ci que je me rendis compte de ce que j'avais ressentis. Était-ce un sixième sens ? Un instinct ? Ou ce que la personne m'ayant accueillie avait décris comme étant une lueur ? Au fil des semaines ainsi que des mois, je sus alors ce que c'était. J'avais raison depuis le début, c'était bien une lueur. Ainsi, dorénavant, je saurais toujours retrouver mon chemin ? C'était cool ! Moi qui aimait l'aventure et l'exploration, cette lueur me servirait énormément et serait un bon moyen d'explorer des endroits jusqu'alors inexplorable car trop reculés.

PseudoDerrière l'écran, qui es-tu ?

Pseudo | Kaerin Âge | 27 ans Arrivée sur le forum | J'ai découvert ce petit coup de coeur sur Epicode et alors que j'ai 12 forums RP, bah j'me suis inscrite (je pouvais pas ne pas m'inscrire en fait XD).Première impression | Franchement, j'adore le forum, c'est un réel coup de coeur <3 Autre | Je ne suis pas le genre à faire des DC, mais qui sait

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Re: Sereia - UC
Sam 21 Sep - 19:05
Bienvenue!! Que la chance soit avec toi ! Hâte de lire la suite de ta fiche o/
Dolly
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Lueur: Atténuer les douleurs superficielles
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Re: Sereia - UC
Sam 21 Sep - 22:18
Merciii :D
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Re: Sereia - UC
Dim 22 Sep - 1:11
Bienvenue à toi, et bonne rédaction ! Sereia - UC 1942190016
Foxglove
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Lueur: Empoisonnement des liquides
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Sereia
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Re: Sereia - UC
Dim 22 Sep - 3:45
Merciiii Sereia - UC 1973218536 là je vais bientôt dodo donc j'attaque pas le reste ce soir, mais demain la première partie sera terminée :D
Sereia
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Re: Sereia - UC
Dim 22 Sep - 13:05
bienvenue à toi Cendrillon et bon courage pour la suite ! Sereia - UC 3507569488
Anonymous
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Re: Sereia - UC
Dim 22 Sep - 15:38
Merciiii Sereia - UC 2551916494
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Re: Sereia - UC
Dim 22 Sep - 17:19
Tentons donc ma chance *-* (genre j'en ai tellement pas, ça va être un chiffre nul XD)
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Lux Essemus
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Re: Sereia - UC
Dim 22 Sep - 17:19
Le membre 'Sereia' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


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Lux Essemus
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Re: Sereia - UC
Lun 23 Sep - 1:52
Et voilà, première partie terminée :D (je n'ai pas listée tous ses défauts ou ses qualités, j'ai comme qui dirait envie que les gens le découvre en la côtoyant XD ça risque d'être drôle)
Sereia
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