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Savoir

Allan Feat Nakayama Haruki | GIVEN

Carte d'identité

Pseudo | Allan Nationalité | Irlandaise Âge réel | 30 ans - Quelle m*rde
Âge physique | 25 ans Année de disparition | 2014
Particularité | Les cheveux longs, pour un mec, franchement, tu t'es vu ? Puis fais pas genre de chercher une virilité avec ton petit bouc au menton, t'es fin comme une brindille. Combien de fois on t'a pris pour une meuf dans la rue, hein ?
Et arrête de fumer mec, ça te va pas.

Ma vie sur Terre

L'envie de se retrouver seul était toujours plus forte que tout. Tu t'isoles du monde, dans la rue bruyante, ton casque sur la tête te créer une bulle protectrice.

Toi qui était si joyeux, si plein de vie, d'espoirs en l'avenir, quand tout cela a t-il basculé ? De la fumée s'enfuit timidement d'entre tes lèvres, pourtant, il ne fait pas froid, en cette fin de mois de juin. La cigarette à la main, tu te demandes où tu peux bien te rendre. Chez toi, tu sais très bien que tes parents vont encore faire quelques réflexions sur ta vie et tes choix. Quoi de mieux que ses propres parents pour juger ta vie, alors qu'il y a quelques années encore, c'était un discours du type « Fais ce que tu veux, deviens ce que tu veux, nous t'aimerons toujours. » qui régnait dans le doux foyer. Quelle idée d'y avoir cru l'espace d'un instant. Quand est-ce que ça avait commencé déjà ? À la fin du lycée, pour ton choix d'études supérieures ? Ou bien peut être lorsque tu avais décidé d'être honnête avec toi-même, en croisant ce mec de la fac qui te faisait te retourner dès que tu le croisais. Tes amis trouvaient ça drôle au début, puis ont commencé à trouver ça glauque.

C'est toujours comme ça, on se croit bien entouré, de personnes bienveillante, de personnes qui se soucient de nous et au final, on se retrouve seul.

Toujours.

Toujours...

Toujours la même rengaine, toujours seul avec ta mélancolie. Tu es devenu ton propre juge, ton propre bourreau, il n'y a que toi pour te persuader que tout va mal. En même temps, tout n'est pas rose non plus, alors à quoi bon faire comme si tout allait bien dans le meilleur des mondes ?

Tu lances ton mégot par terre, avant de l'écraser avec une rage retenue, ton juge te dit que si tu le fais de manière plus violente, on te prendra au mieux pour quelqu'un qui a quelques soucis dans sa vie, au pire pour un fou. Qui est le plus fou dans l'histoire ? Toi, certainement. Quelle idée de finir gay dans une famille ultraconservatrice ? Ton coming-out, tu l'as jamais fais d'ailleurs, mais tes parents sont très à l'écoute des ragots, tellement plus qu'aux paroles de leur fils.

Tu sais qu'ils sont au courant, mais tu peux rien dire, car c'est rendre réel ce qui l'est déjà. Alors, mieux vaut vivre dans un doux mensonge, avec ta mère qui continue de te sourire paisiblement, alors qu'elle a eu tellement de mal à accepter tes cheveux longs. Ton père se noie dans son travail de bureau, mieux vaut ça que te croiser sous le même toit. Alors depuis quelque temps, c'est devenu un courant d'air, une forme plus ou moins familière qui tu aperçois rapidement, mais qui ne prononce plus un seul son en ta présence. Ta famille a explosé, mais tout le monde est dans son rôle, porte son masque et son propre fardeau.

La nuit tombe, et tu erres toujours sans but dans les rues Dublin. Tu te demandes même s'il n'aurait pas fallu prendre un cursus en dehors du pays pour tes études, plutôt que dans la ville qui t'a vu naître. La donne aurait été différente, certainement.

Ici, il ne faut pas faire de vague, Papa à un poste beaucoup trop important, la moitié de la ville connaît ton nom. Tu voudrais fuir, disparaître. Mais tu ne peux pas. Maman serait trop triste. Beaucoup trop triste. Un banc se libère sur ton chemin, et tu décides de t'y asseoir quelques instants, en espérant oublié le reste. Oublier ta triste vie, ses drames d'enfants et d'adultes. Les yeux fixés sur le ciel parsemé d'étoiles t’emmènent en voyage, dans les plus vieux souvenirs qui te reviennent.

L'enfance

La période qui t'as sûrement le plus marqué. Les jeux d'enfants, avec une petite fille et les visages souriant de ton père et ta mère. Ah, que tu aimerais y retourner, à ses moments d'insouciances, où rien n'était vraiment interdit parce que « ce ne sont que des enfants ». Et malgré tout...

Deux petites têtes blondes qui jouaient près d'un étang, au pied du chêne centenaire. Il en a vu des choses, cet arbre. Et ses dernières années, c'est toi et ta sœur qu'il voit beaucoup. Témoin de vos jeux, de vos moments d'insouciance, du drame aussi.

Chloé...

Chloé a disparu. Tu l'as vu tombée dans l'étang, et tu n'as pas pu la sauver. Ses cheveux blonds flottaient doucement en surface, avant de disparaître dans les abysses. Mon dieu, que cette eau devait être froide, et pourtant, pourtant, tu n'as pas pu la sauver, Chloé. Alors tu as couru, couru à t'en enflammer les poumons. Tombé, tu t'es relevé pour reprendre ta course, de la neige sur tes vêtements, l'air froid te transperçant de part en part. Mais c’était déjà trop tard, tes jambes d'enfant ne vont pas aussi vite que tu le voudrais. Tu n'es pas le super héros de tes histoires du soir. Juste un enfant de 7 ans, qui vient de voir sa petite sœur s'engouffrer dans les froides abysses, sous le regard du chêne centenaire.

Les pleurs incessants de ta mère te maintenaient à la dure réalité. Tu voulais fuir, t'échapper, te cacher. Et toutes les lumières des gyrophares te donnaient mal à la tête, ou bien était-ce parce que tu n'arrivais plus à pleurer ?

Les jours passèrent, des semaines, avant que les équipes de recherche soit de moins en moins nombreuses. Et enfin, le glas sonna : jamais l'on ne retrouva Chloé.

L'adolescence

Tu retournes sous le vieux chêne de temps en temps, c'est de moins en moins dur. Mais tu te sens toujours coupable pour Chloé. Et si... Rien du tout en fait. Tu n'étais qu'un enfant, et bien que tu ais du mal à l'admettre, tu en es toujours un. Tu ne veux plus grandir. Tu te répètes cette phrase comme une prière, mais les jours passent, inexorablement.

L'automne t'offres un magnifique panorama de couleurs rougeoyantes, mais tes yeux fixent toujours l'étang. Comme si Chloé allait en sortir un jour. Maman te regarde avec des yeux moins féroces au fil des mois, et doucement, tu commences à comprendre que, malgré les apparences, elle t'en à voulu. Et ton père, au lieu de se noyer dans les dédales de l'alcool, a préféré se jeter dans les bras de son travail. Tu ne le vois plus, tu ne l'entends plus. Oh, il a bien essayé de prendre ta défense, les semaines qui ont suivi, mais c'était peine perdue. La famille telle que tu la connaissais à imploser ce jour-là. Et toi... Tu continues de respirer, de vivre. Et pas une larme.

Tu fais le deuil, petit à petit.
Tu n'oublies pas Chloé, c'est juste moins dur de penser à elle.
Et quand tu penses être enfin sorti des enfers de ta tristesse, c'est ton cœur qui te joue des tours.

L'âge adulte (ou presque)

Arrivé à la fac, tu crois en avoir fini avec tes pleurs d'enfants. Chloé a cessé de hanter tes nuits, c'est maintenant une amie qui te rend visite de temps à autre dans tes rêves, qui te tient compagnie lors des longues nuits d'hiver, quand le sommeil tarde.

Un autre tourment t'attend, tu vis, enfin. Respirer est plus doux, comme le regard de ce garçon que tu croises souvent sur le campus. Tu as du mal à comprendre les sensations qui t'envahisse quand tu le vois, quand vous vous parlez enfin lors de cette fête étudiante. Le bonheur te tend les bras, enfin, et hésitant, tu plonges le rejoindre. Tout semble plus doux, quand ta main rejoint la sienne. Lui étudie la musique, cela te passionne, tu ne te lasses pas de le regarder lorsqu'il travaille. Toi, tu fais de l'économie, comme ton père l'a voulu. Ça ne t'enchante pas, mais tu le fais quand même.

Il est libre de tout, et avec lui, la pensée que rien n'est impossible te semble si tentante.
Alors un jour, vos lèvres s'enlacent, et tout vas si vite. Tellement vite, ton cœur explose, ton corps frissonne, tu ne contrôle plus t'es pulsions, et vous vous laissez aller à une danse brute, que tu ne connaissais pas, et pourtant, qui te semble si simple. Vous semblez sur les mêmes accords.

Le réveil est brutal. Tu ne comprends pas, ton cœur déborde d'affection, tu veux le revoir, mais il te fait comprendre que ce n'était qu'un amusement. Alors tu les entends, les morceaux de ton petit cœur, déjà fragilisé, qui retombent en morceaux. Et la nouvelle se répand petit à petit que "le fils de" est de l'autre bord. Et ce bruit s'immisce dans la famille. Les bruits courts vite, le mal est fait. Et ta mère se renferme de nouveau, entre larmes et mutisme. Ton père ne croise plus ton regard. Tu es "malade" et qui sait, c'est potentiellement dangereux pour eux. Alors les pleurs d'enfants reprennent, Chloé revient te voir dans tes songes, mais une fois de plus, tu es inconsolable.

Alors tu es là, sur ton banc, les yeux fixés sur le ciel parsemé d'étoiles. Si disparaître te permettait de trouver la paix, le repos, de réparer ton petit cœur brisé, le voudrais-tu ?

Oui.

Et tu disparus.

Dans ma tête

Tes gestes sont doux, tout comme ta personnalité. Tu aimes beaucoup de choses et tu es d'une curiosité monstre. Tu lis, tu écris, tu danses, tu chantes -pas toujours très juste- . Tu te passionnes pour beaucoup de choses, sans jamais réellement exceller dans quoi que ce soit. Mais tu t'en fiches, tu aimes apprendre et découvrir de nouvelles choses.

La mélancolie est aussi une émotion qui a beaucoup de place dans ta vie, tu as du mal a tiré un trait sur le passé, tu regardes souvent en arrière, parce qu'on t'a toujours dit qu'on apprend du passé et de ses erreurs. Alors tu observes, beaucoup, et tu apprends.

Tes émotions sont fortes, un véritable torrent que tu as du mal à maîtriser. La colère, la tristesse, la joie, un vrai feu d'artifice dans ta tête. Ton visage ne sait pas les cacher, alors tu as arrêter d’essayer. Optimiste, tu l’étais. Tu espères le redevenir au fond, c’est toujours mieux de voir le verre à moitié plein qu'à moitié vide. Du coup, tu t’efforces de voir le bon côté des choses, même si tu n’y crois pas toujours.

Tu aimes les belles choses, alors ton sens de la décoration se fait plaisir et ça se ressent lorsque l’on rentre chez toi. Et dans le même registre, tu aimes faire attention à ton apparence, un peu narcissique, il faut l’avouer. Alors tu prends le temps de créer les tenues qui se lie le mieux à tes humeurs. Ça détonne un peu avec tes cheveux longs que tu laisses tomber de manière négligée sur tes épaules, mais hey, c’est le but.

Tu aimes, oh oui, tu aimes intensément. Tu finis toujours pas avoir mal d'aimer, mais tu ne peux pas t’en empêcher. Tu aimes et tu donnes ton amour à quiconque le veut bien. Amour d’amitié, amour fraternel, amour passionnel, peu importe le type, peu importe le genre, tout est prétexte à donner de l’amour, en n’importe quelle quantitée.

Et ta naïveté en profite, on se joue de toi, car tu as du mal à discerner le vrai du faux. Tu ne prends pas tout au pied de la lettre, encore heureux, mais tu ne vois juste pas le mal. Et tu plonges les deux pieds dedans, tu te mets à courir après une information qui se révèle fausse, parce qu’on se joue de toi, on s’amuse de te voir ainsi. Alors tu boudes, quelques minutes, quelques jours. Jamais bien longtemps, tu préfères pardonner.

Sauf à toi-même.

Apparition Puisse le sort t'être favorable

Arrivée sur Lux

Les étoiles étaient si belles. Tu t’en souvenais encore, de ce ciel qui t'observait quand tu as disparu. T’avaient-elles entendue ? Probablement. Cela ne t’aurais pas surpris.

En un battement de cil, le décor avait changé. Le ciel étoilé avait été remplacé par un plafond. Comment t’étais-tu retrouvé ici ? L’incompréhension envahit ton corps, se fixant sur ton visage. Tu regardas tes mains, enveloppées d’un doux halo blanc, ou presque. On finit par t'appeler. Tu relevas la tête dans un mouvement brusque, un léger tournis te fis perdre l’équilibre. Tu avais failli tomber de ta chaise.
On t’expliqua la situation. Un nouveau monde ? Comment ça ? Changer de nom, prendre un pseudo ? Non, ton prénom te convenait parfaitement. Des cercles, des lueurs, tout s’embrouillait dans ton pauvre petit cerveau, encore en état de choc. Alors tu suivais les instructions que l’on te donnait, en silence. Car parler rendrait tout réel, et sur l’instant, c’était l’irréel qui te convenait.

Cinq ans plus tard, tu regardes toujours les étoiles la nuit, en souvenir de cette soirée où tu avais souhaité disparaître. Au début, tu avais rejoint les créatifs. Mais tu es un éternel insatisfait, et pas très doué de tes dix doigts également. C’était Chloé la créative, pas toi. Toi, tu ne savais pas tenir un pinceau, ni jouer d’aucuns instruments. Oh, ce n’était pas l’envie d’apprendre qui te manquait, mais au fond, tu le sentais, ce n’était pas pour toi. Alors un jour, tu es allé à la bibliothèque universitaire de Lux, par curiosité. Et tu t’y es senti à ta place. C’est donc le cercle des Savants qui t’a recueilli, quelques six mois après ton arrivée. Comprendre le monde de Lux et son fonctionnement, adapter les technologies de la terre avec les ressources disponibles dans ce monde. C’est un challenge permanent, qui te maintient en haleine, avec ta curiosité insatiable.

La vie poursuivait son court, l’horloge n’avait plus d’emprise sur ton enveloppe physique, peut-être était-ce ce point qui te perturbait le plus. On t’avait donné une deuxième chance, pour te reconstruire. Tu réapprends à vivre, doucement, timidement. Mais les traces du passé sont toujours ancrées au fond de toi.

Mon pouvoir | Amphibie

Ta lueur, tu la détestes. Elle s’est imposée à toi, sans te demander ton avis, te rappelant l’un des pires souvenirs de ta vie terrienne. Tu t'étais même demandé si ce n’était pas une malédiction, pour avoir souhaité si fort disparaître. L’eau n’est pas ton amie, tu n’apprécies pas particulièrement le fait de prendre un bain, alors un pouvoir qui offre la possibilité de se mouvoir sans contrainte dans l’eau, quelle blague.

Dans ce cas, qu’est-ce qui t'as poussé à te rendre à la cascade, pour t’immerger sous l’eau ? Peut-être une envie incontrôlée de pouvoir tirer un trait sur ton passé ? De faire enfin le deuil de ta petite sœur. Est-ce vraiment possible ? Tu essaies d’y croire. Tu plonges dans l’eau, à l’abri des regards, de l’agitation de la ville. Tu t’étais toujours demandé ce qu’il s’était passé, comment Chloé avait vécu ses derniers instants, dans ce monde silencieux, sombre, cruel.
La panique t’envahit, saisit ton corps tout entier, tu manques d’air, mais pas au sens littéral. Tu es oppressé, tu trembles de tous tes membres, mais ce n’est pas un problème, même avec des mouvements saccadés, incontrôlés, tu rejoins la berge sans trop de problèmes. Allongé sur le sol, tu reprends ta respiration, tu as froid, comme ce jour d’hiver. Des larmes roulent sur tes joues, invisibles sur ton visage déjà humide.

Et pourtant, tu te surprends à revenir, à t’immerger une nouvelle fois. Malgré ta peur, ta culpabilité et ta haine de l'eau. Tu te demandes encore quoi faire de ton pouvoir. À part t’aider à faire enfin ton deuil, pas forcément de manière très tendre, tu ne lui vois pas une très grande utilité.

Les étoiles se sont bien jouées de toi.

BLEH.Derrière l'écran, qui es-tu ?

Pseudo | Lya, ou LyaIzuko, mais Lya c'est plus court Âge | 26 aïe Arrivée sur le forum | Je stalke les murs FB de mes amis Première impression | C bô. PUIS CE CONTEXTE RAH ! (Et j'aime l'idée du hasard qui intervient aussi bien sur la fiche de présa que InRP) Autre | Ça fait un bail que j'ai pas RP, désolé, je risque d'être toute rouillée

La nuit frisonne, Allan, Allan
J'entends ton coeur fatigué
D'avoir aimé, Allan, Allan

Allan
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Béatrice
Créativité
Bonsoir et bienvenue sur le forum, Allan D'étranges rêveries comptent mes nuits | Allan 1942190016 !

Un Irlandais ! Avec du Given en avatar ! Je t'aime déjà ! Oui, il en faut peu, j'assume XD ! J'ai hâte de voir quel personnage tu nous réserves D'étranges rêveries comptent mes nuits | Allan 3648632496 ! En tout cas, courage pour la rédaction du reste de la fiche !

*aide Allan à ne plus être rouillé*
Béatrice
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Fougue
Un copain celte <3 Bienvenue à toi o/

Bon courage pour ta fiche ! Je suis curieuse d'en savoir plus sur ton personnage ^^
Alban
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Lueur: Casseur de cailloux
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Diesel
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omggggg kestufoula
C’est bien la première fois que mon mur FB ramène des gens sur un forum fleoxlzlg

Bienvenue !!! Trop contente de te voir revenir dans le monde du rp D'étranges rêveries comptent mes nuits | Allan 1942190016
Diesel
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Haruki ! J'aime beaucoup ce manga du coup.. Haha ! Bienvenue en tout cas !
Justice
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Lueur: Pistolet à colle : cracher une matière d'abord gluante, qui devient ensuite solide
Ha. ru. ki. Je. D'étranges rêveries comptent mes nuits | Allan 2551916494

Je l'aime d'amour. C'est un personnage qui me touche énormément - j'aimerais le jouer en rp un jour - et le manga m'a déjà fait pleurer dix mille fois, ouin.

J'ai très hâte de lire son histoire en tout cas !! D'étranges rêveries comptent mes nuits | Allan 3648632496

Et bienvenue !

(Je suis en train d'écrire ma fiche, j'vous jure, mais j'étais obligé de laisser un petit message ici avant.)
Anonymous
Roublardise
Ouhhh hâte d'en voir plus sur ton personnage ! Bienvenue :D
Luka
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Lueur: Voir des listes de caractéristiques des objets
Savoir
Merci à tous pour vos messages de bienvenue ! D'étranges rêveries comptent mes nuits | Allan 2551916494

Il est donc l'heure de lancer le dé, ah, j'ai peur !!! D'étranges rêveries comptent mes nuits | Allan 1152985671
C'est parti oo'
Allan
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Le membre 'Allan' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


'Bénédiction' : 3
Lux Essemus
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Savoir
Oooh un confrère qui a des soucis similaires aux miens ! D'étranges rêveries comptent mes nuits | Allan 1606305739
Il a l'air adorable ce beau jeune homme, il s'entendrait bien avec Arwel !
Bienvenuuuuuue ♥
Arwel
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Lueur: Détecteur de secrets
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