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Alasie
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Je me présente je m'appelle Alasie

Alasie, en quelques mots


  • Pseudo: Alasie, Inuit pour "Alice"

  • Nationalité: Inuit

  • Age physique: 23 ans

  • Age réel: 128 ans

  • Année de disparition: 1914

  • Particularité: Très sensible à la chaleur, adore la neige

  • Avatar: Korra, The Legend of Korra

Ma vie sur Terre

Une nuit de tempête, une famille était réfugiée dans son igloo. C’était en 1891, et les Européens n’avaient pas encore découvert leur tribu, tout au nord de ce que les hommes blancs appelaient « Canada ». Dehors, la tempête faisait rage. Un tel phénomène naturel était rare dans ces contrées, mais les igloos étaient bien construits, et résistants, et la famille n’avait jamais oublié leurs offrandes pour les esprits. Ils seraient protégés. De toute façon, la tempête à l’extérieur n’était pas le plus important pour eux, parce que Lusa était sur le point d’accoucher. Finalement, alors que la foudre s’abattait, un bébé vint au monde. Une petite fille, un peu ronde, et en très bonne santé, qui emplit sa famille de joie. Et lorsqu’elle poussa son premier cri, à nouveau, un éclair, qui étouffa le bruit. Son nom était décidé, elle s’appellerait Kallik, le mot Inuit pour « éclair ».

Kallik grandit dans une famille peu nombreuse, mais avec une tribu bien plus complète. Elle vivait dans un igloo avec ses deux parents, ses quatre grands-parents, et une de ses tantes. Dans sa famille, faire trop d’enfant était mauvais, parce que ça signifiait qu’il y aurait plus de bouches à nourrir, et la rumeur disait que les Européens montaient vers le nord, petit à petit, tandis qu’eux n’avaient d’autre choix que d’aller au Sud pour chasser. Bientôt, ils auraient sûrement du mal à nourrir toute la tribu.  

Quelques années passèrent, et Kallik semblait à l’aise avec la pêche et la chasse, qu’elle apprenait auprès de son père. Elle n’avait pas de frère, alors il fallait bien que quelqu’un s’en charge, d’autant que la chasse était de plus en plus difficile au fil des années, alors un peu d’aide était toujours la bienvenue. Bientôt, ils devront sans doute rencontrer ces hommes blancs, ceux avec lesquels de nombreuses tribus échangent déjà pour pouvoir survivre.

Quelques années de plus, et ils n’eurent plus le choix. Lusa était malade, elle ne mangeait pas assez et commençait à mal supporter le froid. L’an dernier, la grand-mère de Kallik était retournée aux esprits, suivie peu après par le grand-père. Alors Aklaq, le père de Kallik, pris sa fille avec lui afin d’aller voir les Européens, qui étaient leur seule chance de sauver Lusa. En échange de quelques peaux de phoques, ils acceptèrent de leur donner suffisamment à manger pour un mois, ce qui rassura grandement la famille. Ce n’était pas grand-chose, mais ça leur donnerait un temps pour faire quelques réserves.  

Seulement, les Européens en demandaient toujours plus, encore et encore et encore, alors vint le moment où une simple famille telle que celle de Kallik ne pouvait plus leur fournir suffisamment de peaux à échanger contre des rations. Les animaux se faisaient de plus en plus rare, c’était comme si ces hommes blancs engloutissaient tout sur leur passage. Alors Kallik prit sa décision, lorsqu’elle avait quinze ans. Elle décida qu’elle partirait vivre avec eux, avec ces hommes blancs qui allaient causer la perte de sa famille, en échange de provisions régulières offertes à sa famille. Ainsi, son maigre sacrifice permettrait à ses proches de survivre. Bien entendu, personne n’approuvait ce plan, alors elle ne leur laissa pas le choix, et partit tout de même. Les Européens comprirent sa demande, et acceptèrent, l’emmenant avec eux dans leur monde, si différent, que les esprits semblaient avoir fui.  

S’adapter à cette nouvelle vie ne fut pas facile pour elle. Il lui fallait apprendre un nouveau langage, différent en tous points du sien, il lui fallait porter des vêtements bien plus légers, mais aussi vivre dans un climat bien plus tempéré, dont elle n’avait pas l’habitude. Celui qui l’avait accueillie sous son toit n’était pas exactement une bonne personne. Il devait avoir l’âge de son père, mais elle sentait ses regards, longs, entendus, sur son corps, tandis qu’elle s’occupait des enfants de la maison. Les enfants, eux, étaient très gentils. C’est en grande partie grâce à eux que Kallik fut capable d’apprendre le langage des Européens. Ensemble, tous les trois, ils lisaient souvent les livres de la bibliothèque familiale. Il n’y en avait pas beaucoup, mais chacun était passionnants aux yeux de la jeune Inuit, qui ne connaissait que sa famille, la banquise, les igloos, la forêt, et les esprits.  

Plus le temps passait, et plus Kallik rêvait de s’évader, de découvrir le monde, comme le faisaient tant de personnages dans les histoires qu’elle lisait avec les enfants. Pourtant, il y avait autre chose qui la retenait dans ce village, dans cette maison qu’elle ne quittait que rarement. La maîtresse de maison et mère des deux enfants, Allison, était une personne particulièrement gentille. Elle avait presque dix ans de plus que Kallik, mais était douce, compréhensive, l’aidait à apprendre les bonnes manières, la façon idéale de ranger la maison, de faire la cuisine, de se comporter comme une parfaite petite Européenne. Et puis, lorsque son mari s’approchait d’un peu trop près de Kallik, c’était Allison qui le faisait aller voir ailleurs, prétextant qu’il fallait couper du bois pour le soir, qu’il fallait aller acheter de nouvelles peaux pour l’hiver qui serait rude.

Souvent, Allison et Kallik se trouvaient seules à la maison. Kallik devait avoir dix-sept ans lorsqu’elle se jeta enfin à l’eau, et décida d’embrasser la personne la plus gentille qu’elle ait rencontré chez les Européens, celle qu’elle pensait aimer. De manière assez surprenante, Allison ne la repoussa pas, au contraire. C’était ce jour, où elles étaient seules dans cette grande maison, que le père était parti chercher des peaux auprès des “indiens”, que les enfants étaient à l’école, que les deux femmes de la maison laissèrent éclater leurs sentiments pour l’autre de manière spectaculaire. Kallik n’avait aucune idée des différentes manières qu’il y avait d’aimer quelqu’un, mais elle en découvrit un certain nombre ce jour-là, et plus encore les jours suivants.  

Leur idylle devait rester secrète, bien entendu. Lorsqu’elles n’étaient pas seules, elles se touchaient à peine, à la dérobée, une caresse sur la main, des épaules qui se touchent en préparant un repas ensemble. Avec les enfants, Kallik découvrait le monde extérieur grâce aux quelques livres qu’elle pouvait lire, et avec leur mère, elle découvrait le monde intérieur, un monde fabuleux. Mais qui devait prendre fin.

Un jour, tandis que la famille faisait de plus en plus confiance à Kallik et acceptaient de la laisser se charger de quelques courses seule, elle décida de se renseigner auprès des gens du village sur son peuple, sa famille. Les nouvelles n’étaient pas bonnes. Personne n’était au courant d’une famille du nord qui recevrait des vivres régulièrement. En rentrant, elle demanda alors à Allison, qui devait avoir des réponses pour elle, et qui décida finalement de lui dire la vérité. Une petite famille comme celle d’Allison n’avait pas les moyens de tenir un marché de ce genre sur le long terme, et ils avaient arrêté d’envoyer des provisions à la famille de Kallik un an après l’accord.  

La jeune fille était dévastée. Elle se sentait plus trahie que jamais, et l’entendre de la bouche de la femme qu’elle aimait d’un amour passionné était l’épreuve la plus dure qu’elle ait eu à vivre. Allison savait, avait toujours su, mais ne lui avait jamais rien dit. Elle lui avait caché la vérité, et sa famille était certainement morte de faim, incapables de subvenir à leurs besoins par leurs propres moyens, surtout après avoir perdu Kallik, qui était particulièrement douée pour la chasse. Elle ne souhaitait plus qu’une chose. Disparaître de ce monde qui lui avait tout pris, auquel elle avait tout donné. Alors elle disparut. Le lendemain, Allison la chercherait partout. Puis tenterait de joindre sa famille, par n’importe quel moyen. Ceux-ci s’étaient installés non-loin, et faisaient régulièrement des marchés avec les Européens. Ils allaient bien. Ils auraient pu être réunis. Allison se fit la promesse de leur rendre visite aussi souvent que possible, de leur raconter à quel point leur fille avait été brave, belle, attentionnée avec tout le monde, et toujours prête à aider. Et Kallik n’en saurait jamais rien.   

Lorsqu’elle était encore Kallik, elle était une jeune femme serviable, douce et compréhensive, peut-être même un peu naïve. Lors de sa renaissance, en prenant le nom d’Alasie, elle décida de changer, parce qu’elle savait qu’elle ne pourrait pas survivre dans un nouveau monde si elle se laissait aussi facilement marcher sur les pieds.

Alasie est une jeune femme déterminée, qui sait se faire entendre lorsqu’elle le juge nécessaire. Elle n’aime pourtant pas toujours être au centre de l’attention, couper la parole, ou se montrer irrespectueuse, ce qui fait que la plupart du temps, si elle juge que son intervention n’est pas totalement utile, elle la gardera pour elle.  

Elle adore l’exploration, et peut passer plusieurs semaines dans la nature, perdue au milieu des montagnes, ou dans une forêt, sans jamais paniquer. Son enfance l’a préparée à toutes les éventualités, et elle reprend son état plus “sauvage” dans ces conditions. Les quelques personnes qui ont eu l’occasion de la croiser à la fois en exploration et dans un contexte plus citadin jureraient qu’il s’agissait de deux personnes différentes. Portant en elle l’éducation Inuit et l’éducation Européenne qu’elle a reçu, elle est assez flexible, et parvient tant bien que mal à ne pas faire tâche au milieu de la ville.

De manière générale, elle a beaucoup de mal à faire confiance aux gens, et il lui faut un temps d’adaptation avant de pouvoir s’ouvrir un peu, son histoire avec Allison ayant calmé sa naïveté débordante. Ceci étant dit, elle aura tendance à faire plus facilement confiance aux femmes, et aux enfants, étant donné les quelques mauvais souvenirs qu’elle garde du père de famille et de ses regards entendus.

Alasie est aussi très rancunière, et pardonne difficilement les gens qui font du mal aux autres, surtout si cela concerne ceux dont elle est proche. Elle peut d’ailleurs se montrer violente avec ces quelques personnes, et a déjà blessé grièvement des roublards qui pensaient pouvoir racketter des passants sans conséquence, ou des autres Lumières qui se croyaient tout permis.


Dans ma tête

Derrière l'écran

Alasie au pays des merveilles Gait Moi c'est Shigurai. Clyde (Dolly) m'a proposé de l'aider à faire naître ce beau forum, et j'ai accepté, et c'était une très bonne décision parce que me voilà ! Sinon, j'ai 21 ans, et je sais pas trop quoi dire d'autres, des bisous.

dé

Débarquement impromptu

L’arrivée à Lux fut difficile pour Kallik, et ce malgré le halo doré qui l’entourait lorsqu’elle apparut au milieu de la mairie. On lui demanda vite quel était son nom, l’informant qu’elle n’était pas forcée de donner celui qu’elle portait sur Terre, et prise de panique, elle dit la première chose qui lui passait par la tête. Alasie. Un nom qui mélangeait trois choses à la fois : son amour pour l’exploration et les histoires parlant d’autres mondes, son livre préféré étant Alice au Pays des Merveilles, mais aussi quelques sonorités semblables à Allison, qu’elle ne pouvait pas entièrement détester, et surtout l’héritage que lui avait laissé sa famille, sa langue Inuit.  

On l’informa vite de tout ce qu’il fallait savoir, notamment concernant le Cercle de la Mondanité qu’elle avait apparemment eu l’extrême chance de rejoindre malgré elle, mais aussi sur tous les lieux importants de la ville. Après une journée entière à se faire guider, elle était toujours aussi perdue, et avait encore plus de questions. Elle était apeurée, ne comprenant pas ce qu’il lui arrivait, et pourtant, au fond, elle était fascinée. Un nouveau monde, pour de vrai, dans lequel les gens avaient des pouvoirs en plus de ça. Et elle faisait partie des plus forts, théoriquement. Très vite, elle s’acheta simplement le nécessaire pour survivre dans la nature : quelques vivres, une couverture, un sac dans lequel ranger tout cela, une grande gourde ainsi qu’un long couteau, puis elle partit en direction de l’inconnu. Elle savait qu’elle ne voulait pas côtoyer la société pour le moment.

Elle se débrouillait pour survivre seule dans les bois et les montagnes pendant un an, durant laquelle elle rencontra pour la première fois le Baroudeur, qui s’arrêta pour parler avec elle quelques instants. Ses histoires étaient incroyables, il avait vu tant de choses, et elle si peu ! Pourtant, il semblait intéressé par ce qu’elle avait à lui dire, et elle avait du mal à résister à ses questions. Après un an sans avoir parlé à la moindre personne, toute compagnie devient vite très agréable pour quelqu’un comme Alasie. Elle lui raconta donc son enfance, quelques histoires rapides sur sa vie dans la civilisation, puis l’année passée. Visiblement, malgré toute son expérience, le Baroudeur était impressionné, et lui proposa une place au sein de son Cercle. Le lendemain, ils prirent chacun une route différente.

Quelques mois plus tard, Alasie entra dans la Taverne réservée à ceux du cercle de la Fougue. L’ambiance était à la fête, aux chants et aux histoires rocambolesques. Tant de bruit et de gens eut vite fait de donner un léger mal de crâne à la jeune fille qui resta pourtant, s’assit dans une table à laquelle il n’y avait personne, avec un simple verre d’eau. Elle n’avait pas l’habitude de boire grand-chose d’autre, alors ça lui suffisait.  

Les années passèrent, et un jour Alasie découvrit finalement son pouvoir lorsqu’elle tomba, au beau milieu de la montagne, sur un voyageur endormi qui semblait faire un rêve mouvementé. Prise de compassion, elle se demanda si elle pouvait faire quoi que ce soit pour l’aider, et c’est ainsi qu’elle se retrouva propulsée dans son rêve. L’homme était poursuivi par une meute de loups, et Alasie prit la fuite à ses côtés. Elle ne se souvient maintenant plus des détails, mais elle sait qu’elle a écopé d’une blessure à la jambe gauche, qui ajouta une cicatrice à sa collection. C’est ainsi qu’elle apprit qu’elle pouvait naviguer dans les rêves des gens, mais aussi y être blessé. Avec les années, elle comprit comment utiliser son pouvoir, les différents problèmes et avantages qu’il impliquait, mais surtout elle avait visité de nombreux mondes imaginaires dont elle ne connaissait parfois pas les propriétaires. En un sens, ça pouvait s’apparenter à une invasion de la vie privée, mais elle ne pouvait pas s’en empêcher ; à chaque fois, elle découvrait quelque chose de nouveau, quelque chose qu’elle n’avait jamais vécu, quelque chose de fantastique.

Maintenant, Alasie a vécu plus de cent ans sur Lux, elle a découvert un nombre inimaginable de choses sans pour autant s’en ennuyer. Lorsqu’elle passe à la taverne, il lui arrive d’enchaîner les pintes de bière, à la grande surprise de certains nouveaux arrivants, et elle a toujours de grandes histoires à raconter. La seule chose qu’elle garde pour elle, ce sont les rêves qu’elle visite lorsque ceux-ci se trouvent être assez personnels pour le rêveur. Elle met un point d’honneur à ne parler que d’elle-même, et des choses qui ne concernent pas les autres. Lorsqu’elle est en ville, elle passe de nombreuses soirées à se balader dans les ruelles sombres et à aider ceux qu’elle peut, soit en donnant un peu de son argent, soit en leur racontant des histoires pour leur tenir compagnie. Elle passe assez peu de temps avec les autres Mondains, malgré ses quelques apparitions au Manoir afin de faire savoir qu’elle est toujours en vie, et préfère passer le plus clair de son temps dans la forêt ou les montagnes. D’ailleurs, son appartement, bien que situé dans le quartier ancien, est assez petit, et ne comporte que le strict minimum, sans la moindre décoration. Les quelques personnes qu’elle a invité chez elle trouvent généralement l’ambiance assez déprimante tant l’appartement manque de personnalité.

Alasie entretient une très bonne relation avec son pouvoir. Elle est capable de voyager dans les rêves des gens, et d’y intervenir. Elle adore se déplacer dans de nouvelles contrées, qu’elles soient imaginaires ou bien réelles mais appartenant à l’ancien monde, et tente souvent à ses risques et périls d’aider les personnes coincées dans des cauchemars. Le problème étant qu’elle peut être blessée, donc elle aura tendance à choisir la fuite si le rêve comporte des créatures venant d’un autre monde, ou se trouvant être trop féroces pour elle. Étant donné que voyager dans les rêves ne la repose aucunement, elle a tendance à éviter de trop le faire. Généralement, lorsqu’elle est de passage en ville, elle voyage dans des rêves aléatoires deux nuits par semaine maximum, afin de préserver sa santé. En voyage à travers les bois ou les montagnes, par contre, il y a si peu de personnes qu’il lui est difficile de trouver des rêves à visiter. Alors elle se contente de ses propres aventures, de ses propres découvertes.


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Alasie
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Alasie
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Membre merveilleux

Bonjour et bienvenue (non) membre merveilleux (re-non) !
À ton arrivée à Lux, tu as été entourée d'un halo doré, signe que tu étais bénie des étoiles. Tout le monde autour s'est alors incliné, hébété de croiser une élue des étoiles. Tu as ensuite été introduite à la Marquise, qui t'a souhaité la bienvenue chez les Mondains. En tant que Mondaine, tu es considérée comme un demi-dieu ici, et tu as accès au très exclusif Manoir. Cependant, tu n'es pas que définie par ton statut social, et rapidement, tu as attiré l'attention d'un autre chef de Cercle par tes explorations fréquentes de la nature. Alors que tu étais dans la montagne, tu as croisé le chemin du Baroudeur, qui t'a proposé de le rejoindre pour un verre dans la Taverne du Cercle de la Fougue. Aucun autre chef de Cercle ne semblant vraiment intéressé par ta personne (le Doyen a bien jeté un coup d'oeil vers ta direction, mais tu avais trop la bougeotte pour lui), tu as intégré le cercle des Fougueux, félicitation!
Quant à ton pouvoir, accroche-toi bien, car les étoiles ont été généreuses. En réponse à ton toi terrien qui rêvait de pays étrangers et de merveilles, elle t'ont accordé le pouvoir de voyager et d'intervenir dans les rêves d'autrui. Attention cependant, car ce n'est pas un pouvoir facile à utiliser. À chaque fois que tu utiliseras ce pouvoir, tu seras en train de dormir. Cependant, l'utiliser revient à renoncer à une nuit de sommeil; car si ton esprit est présent dans celui de quelqu'un d'autre, tu ne te reposeras pas. Tu te réveilleras comme si tu avais passé une nuit blanche. Et ce n'est pas fini! Si tu es blessée dans ton rêve, tu te réveilleras blessée dans ta vie réelle. Fais bien attention à toi.
Tu peux désormais continuer ta fiche, à partir des informations que je viens te donner. Décris-nous ta vie à Lux, ainsi que ton pouvoir. Que pense Alasie du fonctionnement de ce monde? Que pense-t-elle de sa Lueur? Dis-nous tout.

Lux Essemus
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Lux Essemus
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Validation blasée

Kikoo twa ^^
wllh t'es validé là tu m'as soûlé là tu me forces à double-post et tt tu tprends pour ki
Voilà c'était donc un magnifique exemple de professionnalisme de ma part, je suis une admin 100% responsable, je te souhaite donc une excellente validation, ainsi que de très bons rps mais pas tout de suite parce que le forum est pas ouvert
je te souhaite succès et réussite dans ce que tu entreprends, c'est-à-dire ce forums et tes rps
à la revoyure!!!

Lux Essemus
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Dolly
Roublardise
wow !!!!!!
bravo !!!!!
et bienvenue !!!!!!
Dolly
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Lueur: Atténuer les douleurs superficielles
Alasie
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Alasie au pays des merveilles 1942190016 Merci héhé Alasie au pays des merveilles 3507569488
Alasie
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Lueur: Voyager dans les rêves
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